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Étirév

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    Étirév 28 mars 16:31

    Nicolas Berdiaeff, dans ses « Réflexions sur les destinées de la Russie et de l’Europe », écrit : « La révolution russe est un grand malheur. Toute révolution, du reste, est une calamité. Il n’y a jamais eu de révolution heureuse. La révolution russe est abjecte. Mais toute révolution est abjecte. Il n’y a jamais eu de révolutions belles, harmonieuses et heureuses. D’autre part, toutes les révolutions ont été manquées. Il n’y a jamais eu de révolution réussie. La Révolution française, que l’on dit « grande », fut elle-même abjecte et manquée. Elle ne fut pas meilleure que la révolution russe, ni moins sanglante ni moins cruelle ; elle fut aussi athéiste, aussi destructive à l’égard de tout ce que l’histoire avait jusque-là consacré. La révolution russe n’est pas ce qu’on appelle « grande », elle n’est qu’une révolution importante, dépourvue d’auréole morale. »
    Au sujet de ces deux révolution, René Guénon écrivait : « Partout dans le monde occidental, la bourgeoisie est parvenue à s’emparer du pouvoir, auquel la royauté l’avait tout d’abord fait participer indûment ; peu importe d’ailleurs qu’elle ait alors aboli la royauté comme en France, ou qu’elle l’ait laissée subsister nominalement comme en Angleterre ou ailleurs ; le résultat est le même dans tous les cas, et c’est le triomphe de l’« économique », sa suprématie proclamée ouvertement. Mais, à mesure qu’on s’enfonce dans la matérialité, l’instabilité s’accroît, les changements se produisent de plus en plus rapidement ; aussi le règne de la bourgeoisie ne pourra-t-il avoir qu’une assez courte durée, en comparaison de celle du régime auquel il a succédé ; et, comme l’usurpation appelle l’usurpation, après les Vaishyas (caste dont les fonctions propres étaient celles de l’ordre économique), ce sont maintenant les Shûdras (caste la plus inférieure) qui, à leur tour, aspirent à la domination : c’est là, très exactement, la signification du bolchevisme. » (R. Guénon)
    C’est ainsi que la Révolution Française marqua le pouvoir des Vaishyas comme la Révolution Russe marqua celui des Shûdras ; cette dernière, marquant également l’ultime phase d’un certain Cycle historique, puisqu’il n’est plus possible de « descendre » plus bas.
    Toujours dans son ouvrage « Réflexions sur les destinées de la Russie et de l’Europe » (1927), Nicolas Berdiaeff dit que les femmes jouent un rôle singulièrement important dans le réveil religieux de notre époque. Les femmes sont prédestinées à être, comme dans l’Évangile, les porteuses d’aromates (nourriture de l’esprit). Cette extension du rôle de la femme dans la période future de l’histoire ne signifie pas du tout le développement du mouvement d’émancipation féminine de l’histoire moderne, qui se proposait de rendre la femme semblable à l’homme, de conduire la femme par une voie masculine. C’était là un mouvement antihiérarchique et égalisant, niant la qualité originelle de la nature féminine.
    Ce n’est pas la femme émancipée ni rendue semblable à l’homme, mais l’éternel féminin, dit-il, qui aura un grand rôle à jouer dans la période future de l’histoire.
    « Les chevaliers reviendront, dit Merlin, quand Galaad leur tendra des armes nouvelles. Et ils reprendront la Quête, non dans le sang mais dans la Lumière, non contre l’Amour mais avec lui. »
    « Das Ewig-Weibliche zieht uns hinan » : « L’éternel féminin nous entraine vers le haut » (Goethe, Faust).
    La Nature a donné à chacun des fonctions différentes : l’Homme féconde le corps de la Femme, et la Femme féconde l’esprit de l’Homme



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    Étirév 28 mars 11:34

    Les « bons » et les « autres » !
    Pour info, rappelons que Haljmar Schacht, qui était un fonctionnaire subalterne auprès de l’autorité bancaire allemande créée par les alliés à l’issue de la 1ère guerre mondiale et qui devint ministre de l’Économie du Troisième Reich de 1934 à 1939, fut un des trois seuls accusés de Nuremberg qui furent acquittés, tous les autres ayant été condamnés à mort ou à la réclusion perpétuelle.
    À toutes fins utiles, précisons que la Banque des Règlements Internationaux (B.R.I.), qui est la banque centrale des banques centrales dont le siège se trouve à Baal… Bâle en Suisse, au sein même de la ville qui, pour la « petite histoire », a inauguré, en 1897, le premier congrès Sioniste, a été créée par une initiative de Haljmar Schacht, mais aussi de Norman Montagu (Gouverneur de la banque centrale d’Angleterre), John Foster Dulles (secrétaire d’État des États-Unis) et J-P Morgan (banquier d’affaires).
    C’est à la fin des années 20, pour faire suite aux plans Dawes » (1924) et « Young » (1928), et dans le but de faciliter le paiements des réparations pour mieux dévaliser l’Allemagne (conservant ainsi une situation instable et potentiellement explosive, dans laquelle l’Allemagne ferait office de détonateur), les banquiers internationaux créeront cette institution financière - amenée à avoir un « bel » avenir - dotée de la totalité des prérogatives diplomatiques d’un État (notamment en matière d’immunité de ses membres) et qui ne rendra de compte à personne. La B.R.I. deviendra, alors, la principale machine ouvrière de la Deuxième Guerre Mondiale.
    Notons que le communisme de Marx est une « image-miroir » du nazisme hitlérien : tous deux ont été créés par le cartel des banques centrales, et tous deux sont socialistes. La seule différence est que l’un exalte la race tandis que l’autre met en avant la classe sociale. On retrouve là, le mode opératoire habituel si caractéristique chez les globalistes : la subtile « gestion des contraires ». Du reste, c’était Goebbels en personne qui, en 1936, devant le congrès du parti national-socialiste proclamait : « Notre bataille contre le bolchevisme n’est pas une bataille contre, mais pour le socialisme ». Tandis que l’économiste libéral autrichien Friedrich von Hayek, prix Nobel en 1944, aimait rappeler ces paroles de Hitler : « Fondamentalement le national-socialisme et le marxisme sont identiques »À propos de J-P Morgan, ajoutons ceci : En 1926, le banquier Thomas William Lamont, principal associé de la banque J.P. Morgan, était créditeur pour 100 millions de dollars d’un prêt à Mussolini (le prêt était destiné à « stabiliser la Lire », et avec elle, le régime Fasciste). De plus, alors qu’il en était le propriétaire, J-P Morgan ne participa pas à la prestigieuse croisière inaugurale du Titanic, et, par conséquent, échappa « miraculeusement » à la catastrophe. En revanche, ce ne fut pas le cas pour trois personnalités de premier plan qui étaient opposées à la création de la FED, future banque centrale étasunienne : il s’agit de Benjamin Guggenheim, Isidor Strauss et Jacob Astor (ami et mécène de Nicola Tesla) qui périrent dans le naufrage quelques mois avant, finalement, la création de la FED en 1913.
    NB : C’est au tout début des années 50 qu’aura lieu la création du programme « MK-Ultra », dont l’ancien nazi, Josef Mengele, fut l’un des cerveaux directeurs du projet aux USA.
    Dans « MK-Ultra », le M est pour « Mind » (mental), ULTRA pour « Ultra-secret » et K pour « Kontrolle », en référence au fait que ce sont les Allemands qui ont conçu le programme, financé sous le parrainage de personnages comme John Foster Dulles, l’ancien secrétaire d’État américain, et son frère Allan, ex-directeur de la CIA congédié par le président Kennedy peu avant son assassinat… c’est ce même Allan Dulles que l’on retrouva plus tard sur la Commission Warren qui, après enquête sur « Dallas », conclura au « tireur isolé ».
    Le programme « MK-Ultra » était une expérience de guerre chimique officielle de la CIA. C’était une expérimentation dans laquelle le LSD était fréquemment utilisé, et au cours de laquelle beaucoup d’étudiants, au sein de nombreux campus, servirent de « cobayes », et dont beaucoup moururent.
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    Étirév 28 mars 09:55

    Les SUPER-HÉROS du mondialisme !
    Rappelons qu’en hâtant l’effondrement de l’empire américain, Donald Trump du côté « OUEST » (à l’instar de M. Gorbatchev en URSS en son temps) agit comme un allié objectif des intérêts globalistes de le « City » (épicentre du séisme instigateur du « Nouvel Ordre Mondial ») dont le seul objectif est l’avènement d’un gouvernement mondial. Car précisément, le gouvernement mondial ne pourra voir le jour que sur les décombres des États, tout empires soient-ils.
    En ce qui concerne le côté « EST », rappelons également qu’une commission parlementaire britannique a publié en mai 2018 un rapport alertant sur le fait que la « City » serait devenue un centre de blanchiment d’argent pour les hommes d’affaires russes et pour Vladimir Poutine et son entourage, ce qui a valu à la capitale britannique le surnom de « Londongrad ».

    NB : Les pays se sont ruinés sans s’en apercevoir. Comme personne n’apporte de solution miracle (c’est impossible au niveau actuel du Plan), les hommes qui sont au pouvoir visible tentent de créer l’illusion que tout va bien. C’est la raison pour laquelle tout a été fait pour corrompre la classe politicienne. Et les peuples continuent de flatter, pour le temps qui leur reste, ceux qui donnent l’impression d’écarter d’eux toutes les calamités. Inutile de vous dire que cette espérance est et sera trompée. Tous les accords de paix dont vous avez entendu parler depuis la « guerre du Golfe », tous les évènements de Russie faisant croire à une nouvelle ère où le Communisme serait renvoyé au cimetière sont des « composantes » du Plan. Pensez-vous réellement que cette « Organisation » qui a financé Lénine, qui a donné la moitié du monde à Staline avec la complicité des dirigeants de l’époque accepterait de tout arrêter alors qu’elle est si proche du but ? Croyez-vous sérieusement que tous les montages secrets qui ont permis au Socialisme d’être planétaire vont s’arrêter là ?
    Comprenez que le Communisme ne sera réellement mort que le jour où son « père nourricier », à savoir le Capitalisme ultra libéral de la Haute Finance, ne sera, lui-même, plus de ce monde !
    Avec la grande duperie de la « Perestroïka » (Restructuration) et l’imposture de la « Glasnost » (Transparence), nous assistons depuis quelques temps au « Glissement » mondial (Européen pour commencer) vers une Deuxième « Révolution d’Octobre ».
    Pour faire une révolution, disait Julian Huxley (le frère d’Aldous), l’alternative démocratique est la plus désirable et la plus permanente, la méthode totalitaire s’autodétruit à la longue.
    Petit à petit, les aigles pygargue et bicéphale font le nid de l’Oligarchie



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    Étirév 28 mars 09:48

    De Villepin, le « classement des personnalités politiques préférées des Français » et la « fabrication du consentement ».
    Rappelons que dans les temps les plus anciens, les hommes n’étaient distingués entre eux que par la connaissance ; ensuite on prit en considération la naissance et la parenté ; plus tard encore la richesse en vint à être considérée comme une marque de supériorité ; enfin dans les derniers temps, on ne juge plus les hommes que d’après les seules apparences extérieures.
    Bruno Le Maire était présent à la réunion Bilderberg qui s’est tenue du 30 mai au 2 juin 2019.
    Pour accompagner Bruno Le Maire, voici quelques autres exemples de « Bilderberger » français : Gabriel Attal, Manuel Valls, Emmanuel Macron, François Baroin, Alain Juppé, Édouard Philippe et… Dominique de Villepin.
    Origine du groupe Bilderberg : Au début de 1954, Joseph Retinger, un socialiste polonais basé à Londres, membre de la « Round Table », promoteur de l’Atlantic Union Movement (d’où sortiront l’Institut Atlantique et l’OTAN), et proche collaborateur de la « Fabian Society », proposa à ses amis l’idée d’organiser des réunions de personnalités influentes en Europe et en Amérique pour leur donner l’occasion de discuter et de chercher des solutions aux problèmes d’actualité. C’est en mai 1954 que se tint la première conférence de la « Fabian Society » sous la présidence du prince Bernhard des Pays-Bas. Ce fut une réussite. Dès lors, les réunions devinrent annuelles et prirent le nom de « groupe Bilderberg », en relation avec le nom de l’hôtel d’Oosterbeek (Pays-Bas) dans lequel se déroula la première conférence de ce lobby.
    Notons que l’entreprise la plus importante des membres de la « Fabian Society », fut la fondation, sous la haute autorité de Sydney Webb, de la London School of Economics en 1894.
    A.N. Field Nelson (« Socialism Unmasked ») écrit que : « Sydney Webb reçut pour cela l’assistance financière de Sir Ernest Cassel, grand financier international et ancien partenaire de Jacob Schiff et Kuhn & Loeb de New York... Lord Haldane, membre éminent de la « Fabian Society » et ami de longue date de Webb servit d’intermédiaire entre la Fabian Society et Sir Cassel. ». A.N. Field Nelson écrit encore que : « le professeur J. H. Morgan, dans la « Quaterly Review de janvier 1929, demandant à Lord Haldane : « À quoi servira exactement ce financement ? », s’entendit répondre : « Notre objectif est de faire de cette institution une plaque tournante pour dresser et former les cadres du futur État socialiste ». ».
    Signalons au passage que Louis Dreyfus, homme de médias et principal financeur de la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron et George Soros sont d’anciens élèves de cette école.
    Pour la première fois en 2007, un modèle de la « London School of Economics » se matérialise, sous forme institutionnelle en France par la création de « l’école d’économie de Paris » dont le nom officiel en « français » est « Paris School of Economics ». Son inauguration a été placée sous la présidence de Dominique de Villepin dont on oublie, peut-être en raison des effets sur « l’opinion », de son « beau » discours sur l’Irak à l’ONU en 2003, qu’il est un ancien de la « Harvard Business School », ce qui indique une formation « internationaliste », à l’instar des programmes « Young Leaders », c’est-à-dire des programmes de formation des agents de l’Oligarchie : autrement dit, une formation de traitre (conscient ou pas) à sa Nation.

    Profitons-en pour signaler que l’Institut d’Etudes Politique de Paris, appelé aussi « Science Po », d’où Emmanuel Macron est sorti diplômé en 2001, est géré par la Fondation Nationale des Sciences Politiques (FNSP), une organisation financée par la Fondation Rockefeller, et qui fonctionne en partenariat avec d’autres entités associées à Rockefeller, telles que la London School of Economics et la School of International and Public Affairs de l’université Columbia (d’où Barack Obama est diplômé).
    Les membres des « Sociétés secrètes » ont toujours bien compris le rôle fondamental de l’instruction, capable d’agir d’abord sur les personnalités en formation puis, grâce aux idées communes « imprimées » dans les individus, sur la nation tout entière. La logique des principes transmis par l’école, c’est-à-dire ce conditionnement exercé par les idées communes, se traduisant ensuite en tendances, réflexes et actions de la collectivité tout entière, qui seront toujours plus consolidés et surtout prévisibles.
    « Pervertissez la jeunesse, vous vaincrez la nation ! » dit un adage bien connu.



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    Étirév 28 mars 08:10

    Plus la Vérité se fait jour, plus la censure s’exacerbe.
    « Satan » sait qu’il lui reste peu de temps… car l’histoire est sur le point de subir un tournant radical de libération du mal et, pour cela, il réagit avec une grande fureur.

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