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C’est l’absence de Vérité, l’absence de respect, l’absence de courage : c’est le règne du mensonge, de l’envie, de la lâcheté, qui créent le malaise général dont souffrent les sociétés modernes.
Croire que telle ou telle réforme dans le gouvernement des nations peut changer la vie morale de l’homme serait une étrange illusion ; on peut lui donner des progrès matériels, des réformes économiques avantageuses aux masses, on n’atteindra pas les profondeurs de sa vie psychique.
Or, ce sont les souffrances morales qui rendent l’existence amère. L’homme porte en lui une blessure profonde qui a été faite, dans le passé, à la tête et au cœur de l’humanité par ses criminels ancêtres.
Ce sont eux qui, en étouffant la Vérité, en donnant à leurs descendants l’exemple de toutes les lâchetés, ont été la cause première de toutes les souffrances accumulées pendant des siècles sur la tête des générations montantes. L’homme actuel en est la victime. Il naît esclave d’un atavisme lointain qui le sollicite à refaire la terrible expérience du mal, malgré les cataclysmes sociaux qui en ont démontré les redoutables conséquences.
Cependant, la maladie dont souffre l’humanité n’est pas fatalement mortelle ; on peut la guérir, car, si le mal a souvent triomphé, le bien aussi a évolué, et ses Victoires, quoique moins bruyantes que celles de son terrible adversaire, ont laissé une profonde empreinte dans la Nature humaine.
Aujourd’hui, la lutte est décisive : ou l’effondrement des nations dans la dégénérescence des masses, ou la brillante renaissance depuis si longtemps annoncée ! Et que les sceptiques ne viennent pas nous dire que c’est un rêve irréalisable. Il suffit, pour en faire une réalité, de rétablir dans le monde…
« Crime et châtiment de Dostoïevski : peut-on s’affranchir de la morale ? »
Au fait, qu’est-ce que la morale ? La morale a t-elle une origine ?
Si la physiologie nous montre ce qu’est le mécanisme de nos organes, si la psychologie nous apprend quelles sont nos facultés mentales et sentimentales, la morale nous enseigne l’usage que nous devons en faire.
La physiologie nous dit ce que nous pouvons, la psychologie ce que nous faisons, la morale ce que nous devons.
On peut la définir ainsi : « C’est l’ensemble des règles qui doivent guider la libre activité de l’homme. »
Ces règles doivent être basées sur les vérités éternelles ; elles doivent reposer sur les principes mêmes qui ont créé la vie et dirigé l’évolution humaine. Sans cela ce n’est pas la morale.
Ces principes étant partout les mêmes, sur notre terre, tous les hommes doivent être soumis aux mêmes règles de conduite puisqu’ils sont soumis aux mêmes lois physiologiques. Donc, la morale doit être une, elle doit être universelle comme les vérités premières qui doivent être l’origine et la fin de tous les devoirs de la vie.
L’histoire nous montre, en effet, que les préceptes de morale, observés chez tous les peuples de la terre, reposent sur un fond commun d’idées.
Le code du devoir a toujours été à peu près le même. La pensée souveraine qui a traversé tous les âges et qui semble être née spontanément dans toutes les parties du monde, est l’écho des lois immuables qui gouvernent la nature humaine.
Les vérités morales, nécessaires à la vie sociale de l’humanité, ne sont le privilège d’aucun temps, d’aucun peuple, d’aucun individu. Partout la conscience humaine est soumise aux mêmes lois et se développe dans la même direction.
Il ne doit y avoir qu’une morale, comme il ne doit y avoir qu’une science.
La morale universelle, unie à la science universelle doit devenir la Religion suprême, celle qui dirigera tous les peuples, qui régnera dans toutes les nations.
Mais les causes premières sur lesquelles se base la loi morale échappent à l’entendement actuel de l’humanité.
Elles sont à l’origine de la vie sociale, comme les causes qui ont dirigé l’évolution des êtres sont à l’origine de la substance organisée.
L’idée que nous avons d’une loi morale n’a pas son origine dans notre moi actuel, nous l’apportons en naissant, c’est un lot de l’héritage ancestral. Nous pressentons les lois de l’ordre moral, nous les proclamons et nous nous y soumettons avant de les comprendre : C’est un phénomène d’atavisme. Nous pouvons même dire que, dans l’état actuel de l’esprit humain, les causes n’en sont plus du tout comprises.
Et, cependant, il semble qu’une voix intérieure révèle à l’homme la différence qui existe entre le bien et le mal, le juste et l’injuste. Mais la cause de ces différences lui échappe.
C’est un flambeau que les générations se passent de mains en mains sans que personne ne songe à demander qui a allumé ce flambeau, où, quand et pourquoi.
Les causes morales doivent être cherchées dans les principes mêmes qui ont créé la vie et dirigé l’évolution puisqu’elles sont inhérentes à la nature humaine. Mais il faut savoir quel est le rapport qui peut exister entre ces principes et les actions des hommes ; pourquoi la nature humaine est organisée de telle sorte qu’en suivant ses impulsions l’homme ne va pas toujours vers le bien ? Quelle signification on doit donner au mot bien et au mot mal, quel est le but que l’homme doit chercher à atteindre, en un mot, qu’est-ce que la perfection morale ?
Pour répondre à ces questions, nous avons dû remonter le cours de l’évolution humaine, chercher quand et comment le mal a commencé, car, de même que nous ne comprenons l’existence de nos organes qu’en les étudiant dans leur développement, de même que nous ne comprenons leurs fonctions qu’en remontant dans l’évolution physiologique, ainsi de même, nous ne pouvons comprendre la raison des rapports établis aujourd’hui entre l’homme et ses semblables qu’en remontant le cours de l’évolution psychique de l’humanité.
C’est donc à la science que nous avions à faire appel puisque, elle seule pouvait nous éclairer en nous montrant les faits dans leur évidence, les causes dans leur origine.
Sans cette évidence, que la science seule nous donne, nulle autorité n’a le droit d’imposer à l’homme un précepte à observer, un devoir à remplir.
Toute prescription non justifiée par une loi de la Nature est arbitraire et doit être suspecte. La loi doit avoir sa cause et cette cause doit être démontrée ou démontrable.
Si l’ignorant a pu se soumettre à des préceptes imposés arbitrairement, c’est parce que, sentant sa faiblesse, il a eu confiance dans ceux qu’il a accepté pour maîtres, dans ceux à qui il a laissé le soin de penser pour lui.
Mais celui qui se sent fort veut savoir le pourquoi des actes qu’on lui impose.
Nous devons croire à la raison d’être des choses, pour les accepter. Sans cette condition première : la foi, rien ne peut entrer dans l’esprit des hommes.
Pour pratiquer le bien et éviter le mal, il faut savoir où est le bien et où est le mal, il faut connaître les causes qui font que telle action est bonne, que telle action est mauvaise.
C’est la mission de la vraie science de faire cette recherche ; c’est sa mission d’en imposer les conclusions après en avoir rendu la nécessité évidente.
Gardons-nous bien de séparer la morale de la science comme ont eu la malencontreuse idée de le faire certains philosophes qui, tout en proclamant l’infaillibilité de la science, n’ont pas su pousser jusqu’au bout, les conclusions de leurs affirmations.
En effet, il est une science qui régit les mœurs, et qui n’est pas autre chose qu’un chapitre de la physiologie.
Comment se fait-il qu’ils ignorent cela ?
C’est parce que, comme bien d’autres, ils confondent la vraie morale avec la fausse morale qui, elle, n’a pas de bases scientifiques.
« La société nous a imposé une certaine forme de morale, mais cette société n’est que le reflet de l’ensemble de l’humanité. Or, à en croire la société et sa morale, il est permis d’être avide ; il est permis de tuer son prochain au nom de Dieu, de la patrie, ou d’un idéal ; il est permis d’être compétitif, envieux, dans les limites de la légalité. Une telle morale n’est absolument pas digne de ce nom. Il faut la renier au plus profond de soi de manière radicale » (Jiddu Krishnamurti, La vraie lumière en nous La vraie méditation).
Voyons maintenant en quoi ces deux morales diffèrent l’une de l’autre.
Tournant autoritaire en Europe : les premiers signes… évidents aujourd’hui car tout s’exacerbe.
Aussi, il y a longtemps que ce « tournant » a commencé. On peut même fixer une date car elle correspond exactement de celle qui a vu la France passée d’une monarchie à une démocratie.
En effet, après 1789, la France est passée d’une monarchie qui avait pour contre-pouvoirs tous les corps intermédiaires, à une oligarchie financière dénuée de tout contre-pouvoirs, le tout sous le vocable trompeur de démocratie. La démocratie est le vêtement dont se pare le pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire, mais cette représentation est, dans les faits, c’est-à-dire concrètement, non pas populaire mais contrôlée par des partis politiques sous influence des « puissances d’argent ».
N’est-ce pas Napoléon Bonaparte qui disait : « Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. ».
NB : La séparation des pouvoirs telle qu’institutionnellement comprise (c’est-à-dire inexistante), alliée au mandat représentatif est, en réalité, une stratégie utilisée par les « puissances d’argent » pour prendre le pouvoir politique à l’intérieur des pays. C’est cette prise de contrôle institutionnelle, à l’intérieur des États européens, qui a permis l’avènement de l’Union Européenne en tant qu’institution. Les institutions européennes ont été, historiquement, faites par et pour les multinationales ; non pour le commerce en général, mais plus précisément pour le commerce des multinationales.
Les Traités européens, tels les traités de Maastricht ou de Lisbonne, qui ne sont que la formalisation politique de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés, s’opposent à toute possibilité de « patriotisme économique » de la part d’États qui ne doivent jamais privilégier leurs propres entreprises « nationales ». Cette interdiction est sanctionnée, institutionnellement et financièrement, par l’interdiction générale des « aides de l’État » ainsi que par les « recours en manquement » à disposition de la « Commission européenne » pour faire condamner les États réfractaires à appliquer les règles de l’Union. Rappelons que les Commissaires sont nommés (non élus) à la Commission européenne par les chefs d’État ou de gouvernement des États membres, c’est-à-dire en réalité par les actionnaires des multinationales et les banquiers qui ont financé leurs campagnes, et sont donc sous le contrôle de l’oligarchie, dans leurs pays respectifs. La « Commission » aux ordres oligarchiques peut ainsi rappeler à l’ordre (financier) les États qui auraient eu des velléités de déroger à leur propre sabordement. Ce sabordement est, notons-le, « librement » consenti par les États qui s’interdisent, par leur adhésion aux Traités constitutifs scélérats de l’Union Européenne, toute capacité de défendre et de protéger leurs propres ressortissants, personnes physiques ou morales. (...) Le modèle sociétal a prévu que le citoyen fasse l’objet de surveillance continue. Pour cela, il faut que la moindre de ses activités passe par le web. Grâce à la 5G, l’internet des objets va venir compléter la surveillance à laquelle il est déjà soumis à travers son ordinateur, téléphone, télévision, voiture ou carte bancaire. C’est dans cette stratégie imposée du tout numérique que les États sont sommés à prendre le virage de la dématérialisation de leurs services. La Commission européenne, en véritable chef d’orchestre, a multiplié les directives au sujet du numérique. Un document suisse nous explique que la mise en place d’un Marché Unique Numérique (MUN) est un objectif prioritaire de l’actuelle Commission.
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Le grand révolutionnaire qui bouleversa l’Egypte (vers 1350, dit-on, mais c’est une date incertaine) est Ramsès II que les Grecs appelleront Sésostris ; le nom de « Sésostris » fut formé de celui de sa Mère, Séti/Seth (Seth est le nom masculinisé de la Reine Séti), que les Grecs mirent au masculin, « Sethos », suivi du chiffre « tris » (trois). Seth, ou Seti, a une légende entourée de merveilleux, mais les historiens mettent son nom au masculin naturellement. C’est après le règne de Séti que commencent les luttes séculaires soutenues pour établir un pouvoir nouveau, celui de la force, dans un pays qui voulait garder ses anciennes institutions.
Précisons que Séti est représentée par la Reine du jeu d’échecs, inventé à cette époque. L’homme, c’est le Roi du même jeu, son pouvoir est limité.
Les habitants actuels de l’Egypte appellent en arabe les pyramides HERAM. C’est parce que les pyramides appelées « Heram » étaient consacrées à la Femme divine, qu’on a appelé HAREM par dérision les lieux où on enferma les femmes livrées aux plaisirs des hommes (« heram » vient de la même racine arabe que « haram » qui signifie « interdiction » et aussi « sacré »). Les Pyramides étaient des Temples sacrés dans lesquels on se cachait et qui étaient construits de façon à en interdire l’accès à ceux qui n’étaient pas initiés. À l’instar des murs Labyrinthiques, les Pyramides, en plus d’une fonction de « Gardien », interdisant l’accès aux éléments hostiles et « non qualifiés », avait une fonction conservatrice, empêchant ainsi les éléments intérieurs de se disperser.
NB : Le nom de Ramsès que prirent les chefs de la XXème dynastie vient de Ram, le célèbre révolutionnaire qui masculinisa une partie de la Terre. Tous ces chefs tombèrent dans la débauche.
C’est ce Ram celtique que les Hindous appellent Râma, c’est lui que le Tibet, la Chine, le Japon et les immenses régions du Nord de l’Asie honorent sous le nom de Lama. Il est connu sous le nom de Fo, de Pa, de Pa-pa (monarque paternel) ou de Pa-si-pa (Père des pères). C’est lui qu’en Perse on a appelé Giam-Shyd et dont on a fait le premier monarque du monde. Ce sont ses « exploits » héroïques qui sont relatés dans le Râmâyaṇa. Les Orientaux ont donné à ce « vainqueur » le nom de « Dhulcarnein » ou « Dhû-l-Qarnayn », qui signifie « aux deux cornes » (ou « le bicornu ») ; c’est l’épithète des conquérants « qui ont subjugué les deux extrémités du monde, l’Orient et l’Occident ». Après Ram, Alexandre eut le même surnom (la tradition arabe le désigne sous le nom d’ElIskandar dhûl-qarnein) ; il fut le second « vainqueur » de l’Asie dans la mémoire des Orientaux.
Sur les bords du Tibre, aux Mystères de Raymi, on immolait un agneau noir, et à Rama, dans l’Inde, pendant la cérémonie, la foule répétait continuellement : Ram, Ram ! Le mot Ramadan vient de là..
Le nom RAM provient du surnom retourné de Myriam « Hathor », MAR.
Précisons enfin que, de Ram, « l’homme-Bélier », on fit « Lam », qui signifie « agneau » ; ce nom lui resta, et le voilà devenu l’agneau, l’être doux, comme la frêle jeune fille ; c’est le commencement de la (divine) comédie, mais les suites furent si terribles que de « Lam » on fit les mots « lamenter », « lamentable », « lamentations ». « Lam », qu’il fait signifier agneau, c’est le mot« Mal » retourné.
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Naïveté ou malhonnêteté ?
« L’Aspen Institute for Humanistic Studies » auquel appartiennent ou appartenaient Robert McNamara (ancien secrétaire d’État à la Défense des États-Unis d’Amérique, ancien président de la Banque Mondiale, ex-membre du « Council on Foreign Relations », de la Commission « Trilatérale », du « groupe Bilderberg ») , Jacques Delors, Samuel Huntington, Zbigniew Brzezinski, Henry Kissinger, Georgij A. Arbatov (du cercle restreint des anciens conseillers de M. Gorbatchev et lié aux Rockefeller), Thierry Breton (Commissaire Européen au Marché intérieur depuis 2019), mais aussi les Italien(ne)s Giorgia Meloni (première femme à la présidence du Conseil des ministres italien en octobre 2022), Silvio Berlusconi (ancien Premier ministre de l’Italie), l’ancien « Rockefeller » italien et patron de la multinationale FIAT, Gianni Agnelli, Francesco Cossiga (Président de la République de 1985 à 1992), Romano Prodi (ex-Président de la Commission Européenne de 1999 à 2004), naquit en 1949 dans le Colorado, grâce à Robert M. Hutchins, haut dignitaire de la maçonnerie britannique, président de l’université Rockefeller de Chicago, directeur de la Fondation Ford dans les années cinquante, qui fut impliqué dans les années Soixante dans un trafic de drogue. En effet, Hutchins était en rapport avec Aldous Huxley avec lequel il collabora activement en entreprenant un programme pour l’étude des effets des drogues. Sous le prétexte d’« études humanistes » et sous la direction savante des initiés du R.I.I.A. et de la « Fabian Society », bastions des mondialistes, l’Aspen a réussi à coopter des personnalités du monde politique et industriel pour les orienter vers des analyses et des prospectives « globales », des lois mondialistes au sens technocratique, pour ensuite les faire insérer dans les programmes de gouvernement de leurs pays respectifs, réussissant ainsi à constituer un réseau qui relie à l’échelle internationale les classes dirigeantes des différents pays. Le chef de l’Aspen Institute a été longtemps Robert O. Anderson, ancien secrétaire au Trésor américain, l’un des directeurs du C.F.R., membre du Bilderberg et de la Trilatérale, et dirigeant de la multinationale du pétrole Atlantic Richfield Corporation (A.R.C.O.). Les thèmes obligés, jusqu’à il y a quelques années, étaient : l’Union Européenne, les financements pour les pays de l’Est et l’ex-Union Soviétique, propositions et solutions pour conférer un plus grand pouvoir aux Nations Unies et à ses organismes.
Méloni ou les « Jézabel » modernes :
L’Apocalypse est un livre écrit par un auteur qui se répand en doléances sur le mal qui règne partout, sur le sort des opprimés victimes des religions et des institutions nouvelles des hommes.
Il s’élève contre Jézabel, désignant ainsi les femmes perdues qui suivent les Paulinistes. Il accuse les Nicolaïtes et les Juifs qu’il appelle « ceux de la synagogue de Satan », et annonce, une fois de plus, le retour de la Femme-Messie.
Ce livre, tout rempli de réminiscences de l’Ancien Testament, a évidemment été altéré par les Jésuites qui y ont mis, après coup, leur Jésus, leur Dieu Père, leur personnel ecclésiastique et les douze apôtres à la place des douze tribus, ce qui fait qu’ils apparaissent comme contemporains des prophètes. L’Apocalypse a dû être écrite avant la destruction du temple ; les remaniements qu’elle a subis, peut-être plusieurs fois, ont dû commencer dans le IIème siècle, L’ancien symbolisme, dont la signification était connue et facile à comprendre, y devient un surnaturel fantastique en prenant les idées abstraites symbolisées pour des réalités concrètes. Cette transformation de l’idée se retrouve dans tous siècles, c’est l’éternel manteau de l’ignorance et de la bêtise posé sur l’éternelle Vérité.
Plus est claire et nette la vision du passé et plus le présent s’éclaire
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