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On s’est beaucoup occupé de la force et de la matière ; on a érigé, sur ces deux mots, des systèmes philosophiques plein de promesses. Cependant, on est resté sur le terrain des hypothèses ; on a entrevu des causes probables, on n’a rien affirmé. La philosophie nouvelle n’a apporté que des négations, ce qui a fait douter de sa valeur ; toute la partie affirmative lui manque : Détruire est plus facile qu’édifier, mais édifier est plus utile que détruire.
Pour fonder une doctrine nouvelle sur une méthode scientifique solide, il faut commencer par définir la « force » et la « matière », il faut savoir comment l’une sort de l’autre, quel est le mécanisme de ce changement d’état, quelles sont les causes qu’il fait naître, les effets qui en résultent.
C’est cette grande histoire de la force dans l’univers que nous entreprenons de faire.
La force, c’est la matière en mouvement.
On observe dans la nature deux espèces de mouvements : des mouvements « spontanés » et des mouvements « transmis ».
Nous ne nous occuperons d’abord que des mouvements spontanés, puisque c’est l’origine de la force que nous allons chercher ; nous ne parlerons que plus tard des mouvements transmis.
Le mouvement spontané apparait dans l’électricité, dans les réactions chimiques, dans la vie.
Ces trois manifestations de la force primitive répondent à une même cause : l’action atomique ; elles ont une même source : la décomposition moléculaire.
NB : LA LUMIÈRE
La lumière est une des conséquences de l’arrêt du mouvement de propagation de la radiation. Tant que le courant atomique circule, il ne tombe d’aucune manière sous nos sens.
C’est une force, mais une force dont nous n’avons pas conscience, quoiqu’elle détermine toutes les actions dynamiques qui s’accomplissent autour de nous. C’est seulement quand les courants s’arrêtent qu’ils se manifestent de différentes manières.
La lumière est une de ces manifestations. Elle résulte du choc de deux radiations lancées en sens inverse et qui se jettent l’une sur l’autre comme deux trains se rencontrant sur la même voie.
Dans la collision, il y a annulation des deux forces au moment de la rencontre, qui s’opère avec lumière et fracas si les courants sont puissants.
Lorsque, dans une machine électrique, deux courants radiants marchent à la rencontre l’un de l’autre, il apparaît une étincelle au moment du choc des atomes qui les constituent. Diminuez ou augmentez l’intensité des courants, vous diminuez ou vous augmentez la grandeur de l’étincelle.
Or, les courants électriques que forment les radiations solaires frappent la partie de la terre qui regarde le soleil. Ces courants, en arrivant à la surface terrestre, rencontrent d’autres courants venant en sens inverse, soit des courants solaires réfléchis. Au moment de la rencontre il y a choc et apparition d’une étincelle. Mais comme les courants sont faibles, l’étincelle est petite ; on peut même dire qu’elle est infiniment petite. Seulement la petitesse est compensée par le nombre. Il y a une multitude d’étincelles infiniment petites.
C’est la somme totale de ces étincelles qui constitue la lumière du jour.
LIEN
Il est tout d’abord impératif de dire qu’il ne faut pas faire de confusion entre la Maçonnerie moderne (ou Maçonnerie anglo-saxonne) dite « spéculative », issue de la rédaction des Constitutions de la Grande Loge d’Angleterre publiées en 1723, et la Maçonnerie ancienne dite « Opérative » qui trouve son origine dans les « Mystères », c’est-à-dire dans un enseignement donné dans le secret pour continuer à expliquer les lois de la Nature. Aussi, c’est cette dernière, et non la « spéculative », qui a toujours été visée et/ou interdite par certains régimes totalitaires. Précisons au passage que, dans les Mystères antiques, l’« Initié » prenait un autre nom en même temps qu’il s’intitulait « Mâo Soon » qui, en grec, signifie : « Je cherche ce qui est sûr », c’est-à-dire la Vérité. C’est de ces deux mots « Mâo Soon » qu’on fera plus tard « Maçon ». Le terme « Maçonnerie » viendrait de « Mesouraneo » (Je suis au milieu du ciel).
Faisons aussi remarquer que dans la Franc-Maçonnerie moderne, nous trouvons l’existence d’une « Maçonnerie mixte », ou « Co-Masonry », comme elle est appelée dans les pays de langue anglaise, qui représente tout simplement une tentative de transporter, dans le domaine initiatique lui-même qui devrait encore plus que tout autre en être exempt, la conception « égalitaire », si chère au monde moderne, qui, se refusant à voir les différences de nature qui existent entre les êtres, en arrive à attribuer aux femmes un rôle proprement masculin, et qui est d’ailleurs manifestement à la racine de tout le « féminisme » contemporain, notamment celui, obscène et profane, des « Femen » et autres « Pussy Riot », ou celui, agressif, des « chiennes de garde », aboyant contre tous les hommes sans distinction.
« Pervertissez la jeunesse, vous vaincrez la nation ! » dit un adage bien connu.
La jeunesse est l’âge de toutes les sottises et de toutes les exactions ; rien n’est plus étranger à la sagesse que la jeunesse. Elle est le bras séculier de tous les despotes, la matière première de tout militantisme extrême. Dans notre société démocratique et humaniste on encense la jeunesse, alors qu’elle est avant tout grégaire. C’est pourquoi les tyrans ont tant besoin d’elle.
De plus, la jeunesse est à tel point magnifiée et parée de toutes les vertus aujourd’hui, que même ceux qui ont dépassé depuis longtemps leur « première jeunesse », cherchent à l’imiter.
Un des vices majeurs de notre époque est ce que Montherlant appelait « le jeunisme » ; tout est fait, aujourd’hui, pour prolonger indéfiniment la jeunesse, alors que la jeunesse est un âge transitoire, qui doit être dépassé. C’est une complète inversion des valeurs.
Notons que l’homme traditionnel tout comme l’homme moderne cherche la jeunesse. Mais si l’homme moderne l’envisage selon une vue physique, la jeunesse est pour l’homme traditionnel un état d’éveil spirituel.
Rappelons que parmi les principaux acteurs de la Révolution Française, la moyenne d’âge était de 27-28 ans ; Robespierre et Danton avaient à peine dépassé la trentaine.
La Révolution Française
Les familiers de l’œuvre de René Guénon savent qu’un chapitre de son testament spirituel est consacré aux « méfaits de la psychanalyse ». Les pages 303 à 313 du « Règne de la Quantité » situent en effet la prétendue « psychologie des profondeurs » dans un ensemble de tendances relevant de la « seconde phase de l’action antitraditionnelle ». Sa critique de la psychiatrie moderne rejoindrait donc la « conspirologie » dans la mesure où il existe une différence entre les intentions des « praticiens » et l’objectif global « dont ils ne sont que les collaborateurs aveugles ».
Et René Guénon d’enchaîner en affirmant qu’il « ne serait pas exagéré de voir » dans la psychanalyse et la psychiatrie « des moyens spécialement mis en œuvre pour accroître le plus possible le déséquilibre du monde moderne et conduire celui-ci vers la dissolution finale », c’est-à-dire un moyen de hâter l’abêtissement de l’humanité, l’élimination des hommes de valeur traumatisés par le rythme infernal du modernisme et le totalitarisme triomphant des hommes de puissance.
Enfin, Faisant allusion à l’obligation des psychanalystes de se faire eux-mêmes psychanalyser avant d’entrer en fonction clinique, René Guénon pose, à la fin de son chapitre, une question qu’il serait primordial d’éclaircir :
« Par qui les premiers psychanalystes eux-mêmes ont-ils bien pu être psychanalysés tout d’abord ? »
NB : « La tragédie de l’Europe au XIXème siècle et d’abord, sans doute, la tragédie de la France, c’est précisément l’inadaptation de l’homme et du rythme de la vie qui ne se mesure plus au battement du cœur, mais à la rotation vertigineuse des turbines, et qui d’ailleurs s’accélère sans cesse. L’homme du XIXème siècle ne s’est pas adapté à la civilisation des machines et l’homme du XXème siècle pas davantage… J’irai plus loin, je dirai que cette adaptation me paraît de moins en moins possible. Car les machines ne s’arrêtent pas de tourner, elles tournent de plus en plus vite et l’homme moderne, même au prix de grimaces et de contorsions effroyables, ne réussit plus à garder l’équilibre. » (G. Bernanos)
LIEN
En hâtant l’effondrement de l’empire américain, Donald Trump (à l’instar de M. Gorbatchev en URSS) agit comme un allié objectif des intérêts globalistes de la « City » dont le seul objectif est l’avènement d’un gouvernement mondial. Car précisément, le gouvernement mondial ne pourra voir le jour que sur les décombres des États, tout empires soient-ils.
NB : Les pays se sont ruinés sans s’en apercevoir. Comme personne n’apporte de solution miracle (c’est impossible au niveau actuel du Plan), les hommes qui sont au pouvoir visible tentent de créer l’illusion que tout va bien. C’est la raison pour laquelle tout a été fait pour corrompre la classe politicienne. Et les peuples continuent de flatter, pour le temps qui leur reste, ceux qui donnent l’impression d’écarter d’eux toutes les calamités. Inutile de vous dire que cette espérance est et sera trompée. Tous les accords de paix dont vous avez entendu parler depuis la « guerre du Golfe », tous les évènements de Russie faisant croire à une nouvelle ère où le Communisme serait renvoyé au cimetière sont des « composantes » du Plan. Pensez-vous réellement que cette « Organisation » qui a financé Lénine, qui a donné la moitié du monde à Staline avec la complicité des dirigeants de l’époque accepterait de tout arrêter alors qu’elle est si proche du but ? Croyez-vous sérieusement que tous les montages secrets qui ont permis au Socialisme d’être planétaire vont s’arrêter là ?
Comprenez que le Communisme ne sera réellement mort que le jour où son « père nourricier », à savoir le Capitalisme ultra libéral de la Haute Finance, ne sera, lui-même, plus de ce monde !
Avec la grande duperie de la « Perestroïka » (Restructuration) et l’imposture de la « Glasnost » (Transparence), nous assistons depuis quelques temps au « Glissement » mondial (Européen pour commencer) vers une Deuxième « Révolution d’Octobre ».
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Au théâtre ce soir...
La capacité à mentir, et donc à avoir un certain talent de « comédien », est l’une des « qualités » requises par l’oligarchie dans le choix de ses « marionnettes »... à l’Ouest comme à l’Est.
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