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Étirév

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    Étirév 22 mars 19:47

    Ce qui commence, ce sont les astres, puisqu’ils naissent et meurent.
    Mais l’Univers, au sein duquel ils évoluent, est éternel.
    NB : « Les prêtres à penser prêchant la « bonne science » sont nombreux. Stephen Hawking représente pour le grand public la réussite de cette science officielle, envers et contre tous. Son dernier ouvrage, l’univers dans une coquille de noix, ressasse les thèmes scientifiques idylliques ainsi que les stars de ce club très fermé que sont les scientifiques « sérieux »… La manipulation est une constante dans ce monde officiel.
    « Hawking est un scientifique positiviste pure et dure issue du « système ». Il est le faire valoir des théories scientifiques humanistes aujourd’hui imposées à la conscience collective. Son instrument : Les mathématiques, sa logique : A la mesure des bons films hollywoodiens, avec un début, big bang et une fin à la Française, « big crunch ». Sa sagesse : « Les mouvements apparents des planètes dans la voûte céleste s’expliquent par les lois de newton et n’influent en rien sur notre destinée… ». Le fait même de voir une étoile briller dans le firmament, en dehors de son action photomagnétoélectrique qui est évidente sur les corps matériels, influence notre destinée. C’est sans commentaires.
    « Hawking et ses confrères ont souvent une vision crue du monde à venir. Dixit : « Je ne m’attends pas moins que la limitation de la taille du cerveau, qui doit passer par le col de l’utérus, disparaisse sitôt que nous aurons appris à faire pousser des bébés hors d’un corps maternel (d’ici une centaine d’année, je suppose…) Les implants électroniques neuronaux permettrons de disposer d’une mémoire accrue… ». En attendant ce meilleur des mondes possibles, monsieur Hawking repose l’existence théorique de l’univers sur les mathématiques. Les mathématiques sont une des structures théoriques permettant à la plupart des dogmes scientifiques de se maintenir comme acquis pour nos contemporains. Les mathématiques ont « le pouvoir » de justifier « sur le papier ou sur l’écran » des théories qui sont fausses. ». (Extrait du site l’Ecole Helvétique des Runes)
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    Étirév 21 mars 07:31

    Peut-être serait-il temps, provisoirement, c’est-à-dire le temps que la France se réveille du cauchemar dans laquelle elle se trouve, de ne plus appeler ce lieu géographique d’où partent les pires décisions jamais prises par des hommes qui, eux-mêmes, sont les pire représentants d’une humanité usée et majoritairement dégénérés par des millénaires de mensonges et de violences.
    À ce sujet, rappelons ces propos d’Alexandre Soljenitsyne : « La violence ne vit pas seule, elle est incapable de vivre seule : elle est intimement associée par le plus étroit des liens naturels au mensonge. La violence trouve son seul refuge dans le mensonge, et le mensonge son seul soutien dans la violence. »
    Cependant, les psychopathes qui nous gouvernent, ainsi que tous leurs affidés stipendiés, dont le temps est désormais compté, ce qui explique, aujourd’hui surtout, le nombre important de décisions ineptes, confuses et contradictoires prises dans la précipitation la plus totale, continuent d’agir au nom de la France, parce que la France, en dépit de toutes les violences subies tout au long de son histoire a su conserver sa Grandeur, et aussi parce que les noms féminins donnent toujours une idée de grandeur et de sainteté dont les usurpateurs profitent.
    NB : Ceux qui seraient tentés de céder au découragement doivent penser que rien de ce qui est accompli dans l’ordre spirituel ne peut jamais être perdu, que le désordre, l’erreur et l’obscurité ne peuvent l’emporter qu’en apparence et d’une façon toute momentanée, que tous les déséquilibres partiels et transitoires doivent nécessairement concourir au grand équilibre total, et que rien ne saurait prévaloir finalement contre la puissance de la vérité.
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    Étirév 21 mars 07:30

    Qu’est-ce alors que le Christianisme ?
    Ce ne fut évidemment pas la doctrine qui triompha sous Constantin.
    Ce fut un enseignement donné par quelques initiés formant un parti violemment persécuté et dont le souvenir fut effacé par la doctrine qui triompha plus tard.
    Il y eut donc deux Christianismes :
    Le premier (le vrai), qui est aujourd’hui inconnu, et le second (le faux), qui s’édifia sur ses ruines, avec ses matériaux utilisés, mais mutilés.
    Ils ne se confondent pas, ils sont en opposition complète.
    Il est hors de doute que l’enseignement donné par les premiers Chrétiens était celui des lois de la Nature, tel qu’il avait été donné dans les Ecoles Pythagoriciennes. Du reste, il existait encore des Ecoles de ce genre au commencement de l’ère actuelle, puisque Justin, martyr, raconte qu’à cause de son ignorance de quatre sciences préparatoires (l’arithmétique, l’astronomie, la géométrie et la musique) on refusa de l’admettre comme candidat à une de ces Ecoles.
    Donc, la science primitive, cachée dans les Mystères, avait cependant toujours été enseignée. La secte des Esséniens, dont Daniel peut être considérée comme le fondateur, sort de l’Ecole Pythagoricienne.
    Est-il nécessaire de faire remarquer que l’antique tradition conservée par ces Esséniens était celle des Féministes, leur science, leur morale, leur loi, en opposition avec celle que les Rabbins appelaient mosaïque, c’était celle qui avait été donnée par Myriam dans le Sépher et qu’on avait si soigneusement cachée ?
    C’est cette science secrète, cette morale cachée, cette loi persécutée qui est le fond de l’enseignement des premiers Chrétiens, qui s’intitulaient Christiens.
    Tout cela est antérieur au personnage que la légende appelle Jésus, et en opposition avec sa doctrine.
    Ce n’est pas un homme qui révèle cette science et cette loi, puisqu’elle existe depuis une haute antiquité, c’est un parti une secte si l’on veut, qui la conserve et l’enseigne.
    Le Christianisme primitif avait été une doctrine sur le Christ, son nom est resté pour l’indiquer, ses partisans s’appelaient Christiens ; ce ne fut pas une doctrine sur Jésus, qui n’y fut introduit que plus tard par des esprits vulgaires qui vinrent rapetisser l’idée de Rédemption. Le Jésuisme allait tuer le Christianisme.
    Cependant, la doctrine qui a triomphé a gardé le nom de Christ, parce que les noms féminins donnent toujours une idée de grandeur et de sainteté dont les usurpateurs profitent.
    C’est pour cette même raison que les Juifs masculinistes, quand ils se virent méprisés, se firent appeler Israélites.
    La vraie Christologie a duré peu de temps, et ses documents ont été fondus dans ceux que le Catholicisme a pris plus tard pour base.
    NB : C’est au milieu de la préoccupation générale de cette époque qu’une femme s’éleva qui vint prêcher le retour à l’ancienne doctrine israélite et la restitution de la science antique.
    Cette femme s’appelait Johana ; ses disciples s’intitulent eux-mêmes Mandaïe de lohana.
    Les Mandaïtes sont ceux qui croient au Manda de hayyé (esprit de vie), littéralement connaissance de la vie.
    On dit aussi « Chrétiens de saint Jean », depuis qu’on a masculinisé le nom de cette femme.
    Mais, nous l’avons déjà dit, ils ne s’intitulaient pas Chrétiens, mais Christiens.
    La doctrine de Johana a pris le nom de Sabéisme, comme celle des anciens Iraniens et comme celle des Ethiopiens dont cette secte va restaurer la morale.
    Donc les premiers Christiens sont des Sabéens (mot dérivé de sabba, baptistes).
    Le nom de baptiste vient de ce que les hommes avaient l’habitude de se purifier tous les huit jours pour se présenter purs à la Déesse.
    Dans la confusion des explications modernes, on nous dira que Johana représente le Feu sacré.
    Sa fête, célébrée le 24 juin, le jour le plus long de l’année, est destinée à perpétuer la gloire de sa lumière spirituelle. C’est pour cela que, depuis deux mille ans, on allume les feux de la Saint-Jean.
    C’est la grande fête du peuple, le grand jour, ou jour du Soleil.
    JOHANA



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    Étirév 20 mars 10:55

    Dans « La France contre les robots », Georges Bernanos dit, que la Civilisation des Machines est « La civilisation des techniciens », et dans l’ordre de la Technique, un imbécile peut parvenir aux plus hauts grades sans cesser d’être imbécile, à cela près qu’il est plus ou moins décoré. La Civilisation des Machines est la civilisation de la quantité opposée à celle de la qualité. Les imbéciles y dominent donc par le nombre, ils y sont le nombre. Cependant, la malfaisance n’est pas dans les imbéciles, elle est dans le mystère qui les favorise et les exploite, qui ne les favorise, d’ailleurs, que pour mieux les exploiter.
    Aussi, c’est l’occasion de rappeler ici les mots de Charles Baudelaire : « La suprême habilité du diable, quelle que soit sa nature, c’est d’obtenir au bout du compte qu’on nie son existence. ».
    Convenons, aujourd’hui, qu’il y est assez bien parvenu, avec de surcroit l’aide de ses « prêtres » (théologiens ou pas) et l’adhésion satisfaite d’une myriade de « fidèles », soi-disant « libérés », puis « branchés » et « câblés », aujourd’hui « connectés » et, demain, probablement « transhumanisés ».
    Les hommes de la Tradition qui ne sont ni folkloristes, ni rêveurs ou nostalgiques, ont pris définitivement conscience que « le monde moderne danse avec le diable » et que notre civilisation est devenue le support planétaire ouvert aux entreprises des « puissances d’en-bas ».
    Aussi, à la lumière des principes et doctrines traditionnels qui fondent la Sagesse commune à toutes les formes traditionnelles, initiatiques ou religieuses, le monde actuel, malgré, ou en raison, de ses indéniables réussites matérielles et techniques, apparaît pour ce qu’il est vraiment : parodie, caricature, illusion, poudre aux yeux, travestissement, en un mot : mensonge.
    Ce monde-là est bel et bien celui dont « Satan » est le prince.
    Ayant épuisé ou presque les « virtualités » du « matérialisme », « l’Adversaire » recourt dorénavant aux « virtualités » d’un « néo-spiritualisme ».
    À ce sujet, rappelons les propos de l’un des prosélytes du transhumanisme en France, Laurent Alexandre, propos parus dans « Le Monde » du 03/11/2015 : « Dieu n’existe pas encore : il sera l’homme de demain, doté de pouvoirs quasi infinis grâce aux nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives. L’homme va réaliser ce que seuls les dieux étaient supposés pouvoir faire : créer la vie, modifier notre génome, reprogrammer notre cerveau et euthanasier la mort. »
    On le voit ici, le cerveau de l’imbécile n’est pas un cerveau vide, c’est un cerveau encombré où les idées fermentent au lieu de s’assimiler, comme les résidus alimentaires dans un côlon envahi par les toxines.
    En parallèle des propos délirants tenus par le chantre du transhumanisme, néanmoins soutenus par le « brainwashing » hollywoodien habituel, organisé, notamment ces dernières années, autour des univers « Marvel » et « DC Comics », rappelons ces sages paroles de Louis Pauwels, tirées de son ouvrage « Les dernières chaînes » : « La qualité suprême de l’homme est dans son être. Nous sommes dans une période où tout se conjugue pour nier notre authentique liberté intérieure… En fait, c’est toujours la même vieille tentation : convaincre les hommes de renoncer à leur autonomie, à leur singularité, à leur différence. À l’ère des machines et de l’informatique, beaucoup se prennent pour des robots. Or, les robots ne vivent pas. Ils n’ont pas d’intériorité. Ils ne connaissent qu’une loi, celle des tyrans qui les manipulent. ».
    On ne peut rien comprendre à la modernité, disait Georges Bernanos, si l’on ne comprend pas qu’elle est un vaste complot contre « l’Intériorité ».
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    Étirév 19 mars 13:08

    Son et lumière… bleu.
    Depuis plus de soixante-dix ans, une puissante révolution a pris forme sans parti politique, sans discours électoraux, et même sans manifeste idéologique pour énoncer les buts et objectifs des nouveaux révolutionnaires.
    Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, une profonde révolution sociale, économique, morale et culturelle a choisi de proclamer son radicalisme par la musique, les Chansons et les stars du Rock and Roll.
    Au départ, tout cela n’a pas été pris au sérieux, car tous s’imaginaient que c’était une mode de plus qui finirait bien par passer comme l’avaient déjà fait le Charleston, le Boogie-Woogie et le Twist. Toutefois, le phénomène socio-culturel du Rock and Roll, apparu au début des années 50, allait déferler sur le monde tel une vague de fond mêlée de boue, de scories, de sang et de sacrifices humains.
    Les conséquences de l’audition de la musique Rock se rapportent aux cinq thèmes majeurs de l’univers Rock and Roll : le sexe, la drogue, la révolte, la fausse religion et l’influence diabolique.
    L’intelligence, la volonté, le libre arbitre et la conscience morale subissent un tel assaut par la voie de tous les sens que leurs capacités de discernement et de résistance sont fortement diminuées, parfois même neutralisées. Dans cet état de confusion morale et mentale, la voie est complètement ouverte aux défoulements les plus violents des pulsions refoulées telles que la haine, la colère, la jalousie, la vengeance et la sexualité.
    La meilleure formation morale et spirituelle ne peut résister longtemps à l’érosion inévitable de la conscience, du cœur et de l’esprit, que produit l’audition quotidienne et habituelle de la musique « Rock ».
    Ajoutons à tout cela, les agressions subliminales qui sont de véritables viols de la conscience et manipulations du libre arbitre.
    Rappelons que ce terme de « Subliminal » se dit d’un message qui atteint une personne juste en-dessous du seuil de la conscience, soit dans son subconscient. Ce message échappe donc ainsi à tout dépistage des facultés conscientes de la personne humaine.
    Parmi les agressions subliminales, nous trouvons entre autres :
    1. Le message subliminal verbal (« backward masking process » ou « enregistrement à rebours camouflé »).
    2. Le « Beat » et son effet subliminal (le « Beat » peut-être conçu de façon à exaspérer les instincts sexuels à favoriser la réaction du système nerveux et du cerveau aux diverses drogues ou exaspérer les instincts de violence, de meurtre et d’émeutes).
    3. Le signal subliminal à fréquence ultra-sonique (comparable au sifflet muet pour les chiens).
    4. La stroboscopie Quand on combine l’effet de la musique rock avec le jeu du stroboscope, toutes les barrières du jugement moral s’affaissent. La personne perd alors ses réflexes automatiques et ses mécanismes de défense naturels. Sans même s’en apercevoir, elle se laisse aller aux suggestions des messages subliminaux contenus dans les disques. Rappelons que depuis l’émergence de la musique « Disco » dans les années 1970, les jeux de lumière ont toujours été un élément essentiel de la culture de la discothèque et des événements de danse en général.

    Au sujet des effets de la lumière sur l’être humain, faisons remarquer que ce que l’on appelle actuellement VLC (Visible Light Communication) constitue un sous-ensemble des technologies de communications optiques sans fil. Dans les télécommunications, la communication par lumière visible (VLC) consiste à utiliser celle-ci comme support de transmission. Dans cette technologie, une place centrale est dédiée aux luminaires électroniques, LED (Light-Emitting Diode). La LED a envahi la planète et pose de grosses difficultés en matière de pollution lumineuse. Sa méthode de fabrication la plus rentable économiquement consiste à combiner une diode émettant simultanément des rayonnements bleus (lumière bleue) et jaune pour produire de la lumière blanche. Or, la lumière bleue est particulièrement connue pour perturber l’horloge interne des vivants (plus grave encore est son effet sur les enfants et sur les yeux). On comprend mieux aussi l’importance, aujourd’hui, de la fibre optique introduite partout. La lumière bleue semble être une pièce maîtresse de la connectivité et de l’hybridation machine-vivant. Serait-ce la raison pour laquelle la téléphonie allemande s’appelle « Blau », le système mail de Swisscom est « bluewin », les réseaux sociaux sont tous rhabillés de bleu, etc... sans parler du « blue-jeans », cet uniforme international du jeune dansant sur des sons syncopés, régressifs, hypotiques, ou des projets « Blue Book » relatif aux OVNI/UFO et « Blue Beam » concernant la projection d’hologrammes dans le ciel ? La lumière bleue associée à la fibre optique desservie dans les maisons peut être une arme neuro-cognitive puissante. Elle peut à tout le moins désorganiser le fonctionnement d’un cerveau et faire perdre le bon sens à n’importe quel être vivant. La fibre optique a permis la mise en place de l’« optogénétique », un concept développé à la fin des années 1970. L’optogénétique est basée principalement sur une protéine, la channelrhodopsine qui possède la propriété d’être activée par la lumière bleue. Des cellules neuronales exprimant cette protéine peuvent alors elles-mêmes être activées par la lumière bleue, apportée par une fibre optique.
    « Bite » Génération Et les Adversaires de l’Harmonie

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