• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

Étirév

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 597 0
1 mois 0 30 0
5 jours 0 3 0


Derniers commentaires




  • vote
    Étirév 23 avril 07:37

    Une haute civilisation régnait en Italie avant la fondation de Rome. « Elle était due aux Etrusques ou Toscans, qui élevèrent des cités somptueuses, qui portaient des costumes splendides et qui ne furent jamais surpassés dans la civilisation et dans les arts », dit. Henri Martin (Hist. de Fr., p13).
    L’Etrurie n’était qu’une colonie celtique, que l’on trouve vers le Xème siècle en Italie. Elle garde jalousement l’organisation du gouvernement féministe comme la Thrace.
    Fabre d’Olivet nous dit (Etat social, Tome II, p. 22) : « Avant que les Romains fussent constitués en République, ils dépendaient des Etrusques, appelés aussi Tusces, Tosques et Toscans. »
    Les vice-rois qui, plus tard, viendront gouverner les Romains, seront appelés « Tarquins ». Le nom de Tarquin se compose de deux mots phéniciens, « Tôr-Kin » (« Tôr », loi ; « King », roi), celui qui régularise la possession ou la conquête (Après les vice-rois ou « Tarquins » viendront les « Magistri populi » qui, dans la ville et au dehors, munis d’un pouvoir illimité, jetteront l’effroi parmi les plébéiens. C’est ainsi que l’autorité brutale de l’homme allait partout remplacer l’autorité morale de la Femme. C’est pour mater le peuple, déjà fatigué de ce régime nouveau qui ne lui avait procuré que des impôts, des corvées, des guerres, des champs dévastés, de la misère et une crainte perpétuelle de la prison pour dette, « ergastulum », qu’on créa les Dictateurs.).
    On fait vice-rois, Romulus, Quirinus et autres personnages légendaires qui ne sont représentés que comme des révoltés et non des envoyés. Du reste, on nous dit que les vice-rois arrivèrent, à se rendre indépendants des Larthes étrusques. Tite Live nous dira que ce peuple venait de la Rhétie environ 434 ans avant la fondation de Rome, qu’il place en 753 (donc 1187 ans avant notre ère).Il aurait franchi le Pô, l’Apennin, et se serait établi dans la contrée située entre les Alpes et le Tibre.
    Nous n’avons pas besoin de tant de peuples émigrés pour expliquer l’histoire. Tous ont une origine commune et une même évolution, tous ont, au début de leur vie sociale, des institutions sages, des éléments d’ordre, tous ont vécu paisiblement dans des tribus matriarcales ; aussi, chez les Etrusques, comme en Asie, comme en Afrique, la filiation s’énonce par la lignée maternelle, l’enfant porte le nom de sa Mère et ne connaît pas son père.
    La religion qui régnait en Etrurie était, comme partout, théogonique ; c’est d’elle que Rome reçut ses premières croyances ; on les retrouve mêlées à la mythologie romaine.
    Les Pères de l’Eglise, qui n’aiment pas le culte théogonique qu’ils sont venus détruire, appellent l’Etrurie « la Mère des superstitions » ; ils voient dans sa religion « un culte étrange » ; c’est que, en effet, le culte du principe féminin est tout le contraire du culte du principe masculin.
    Les Etrusques, malgré, ou plutôt, à cause de cette étrangeté, devinrent le peuple le plus prospère de l’Italie. Les Etrusques Tyrrhéniens, ou Rha Sena, envoyèrent des colonies dans les contrées voisines ; ils lancèrent des flottes sur la mer Tyrrhénienne et dominèrent sur la péninsule.
    Herculanum, Pompéi et d’autres grandes villes furent fondées par les Etrusques. Vers 800, l’Etrurie était la puissance dominante de l’Italie.
    Ce qu’on enseigne à la jeunesse dans les écoles est pris dans l’histoire romaine de Tite-Live, qui était caractérisée par un masculinisme intense et un surnaturel extravagant.
    C’est par Tite-Live, historien latin, né à Padoue 59 ans avant notre, ère, mort 17 ans après, que nous savons quelque chose sur les commencements de Rome. Son histoire romaine, dont il reste à peine le quart, comprenait 140 livres ; il en reste 35, dont le dernier, qui est le 45ème, finit à l’an 585 de Rome.
    Son ouvrage fut accueilli avec faveur par Auguste, ce qui prouve qu’il était écrit avec soin, dans le but de justifier et même de flatter le pouvoir alors existant. Ces approbations de souverains sont toujours, pour nous, un motif de méfiance sur l’exactitude des faits racontés. Ce n’est que dans l’opposition qu’on ose tout dire.
    Voyons maintenant les réalités cachées que la tradition occulte nous apprend :
    La future Rome fut d’abord une espèce de fort bâti sur le bord du Tibre. A vingt kilomètres de la mer, existaient des prairies entrecoupées de marais qui rendaient ce lieu insalubre et inhabitable. Cet endroit était entouré de collines, ce qui fait qu’on pouvait s’y enfermer et s’y fortifier. Sur une de ces collines, le Palatin, séparée du pays des Etrusques par le Tibre, une petite troupe d’hommes échappés de la vie régulière vint s’établir. On raconte que dans l’enceinte de la ville nouvelle on creusa un grand trou et que chacun y jeta une poignée de terre apportée de son pays. C’étaient donc des hommes venus de différentes régions qui se réunissaient là. Ceci se passait de 753 à 746, date attribuée, à la naissance légendaire de Romulus, ce qui n’est pas très ancien dans l’histoire.
    Le premier nom qu’on donna à ce lieu fut « Valentia » (« rendez-vous de la Force »).
    Faisons remarquer (brièvement ici) que « Valentia » fut également le nom donné à une province romaine de Grande Bretagne, au IVème siècle avant notre ère.
    Par la suite, ces révoltés des tribus matriarcales cachèrent son nom dont on leur faisait honte et en firent un nom secret. Puis ils en prirent un autre, « Amor », qui indiquait que ce que voulaient ces jeunes libertins, c’était la libre pratique de l’amour.
    C’est de ce nom, après les « Tarquins », que ce lieu fut appelé « Roma », qui est le mot « amor » lu à l’envers. On fit de cette origine un mystère, on retourna le nom parce qu’on en avait honte, comme du nom de « Valentia » que les Etrusques avaient continué à lui donner.
    « À titre de curiosité, écrit René Guénon, si on écrit cette simple phrase : « In Italia è Roma », et si on la lit en sens inverse, elle devient : « Amore ai Latini » ; le « hasard », dit-il, est parfois d’une surprenante ingéniosité ! » (L’Esotérisme de Dante)
    Les masculinistes expliqueront l’étymologie du mot « Roma » en le rattachant à un mot grec qui signifie « liberté ».
    Ce fut le commencement en Italie du régime masculin opposé au régime féminin.
    Les succès que les romains obtinrent dans la guerre, leur fit aimer les expéditions militaires ; ils prirent goût aux conquêtes, aux pillages, aux dévastations qui les enrichissaient des dépouilles des autres pays ; ils s’y consacrèrent exclusivement, heureux de faire connaître aux nations étrangères le joug écrasant de leur despotisme.
    Centre d’événements tumultueux, violents, où régnait une dureté qu’on appela de l’héroïsme et une absence complète d’aménité, Rome était l’antithèse de la Gynécocratie. Des scènes de carnage et de dévastation remplissent les annales de Rome. En quelques siècles, cette bourgade, qui n’était, au début, qu’un ramassis de révoltés, s’éleva, s’étendit au loin et arriva au faîte de la puissance brutale, donnant au monde l’exemple de ce que peut être une société quand la force triomphe. Rome fit des lois abominables, des guerres meurtrières, elle eut des monstres couronnés, ses grandes femmes furent calomniées, avilies ! Ce fut une tache dans l’histoire, dont le déplorable effet dure encore !
    NB : Ce ne fut que l’an 325 que la secte catholique, qui avait complètement dénaturé le Christianisme depuis Paul, s’installa en maîtresse à Rome.
    Soulignons au passage que la croix n’est devenue le signe du Christianisme qu’au VIIème siècle de notre ère, lors du Concile de Constantinople qui eut lieu de 680 à 684. Jusque-là, la religion nouvelle, c’est-à-dire le second Christianisme (le faux), celui qui triompha sous Constantin au Concile de Nicée (en 325), et qui s’édifia sur les ruines du premier (le vrai), avait pour insigne trois phallus enlacés (représentant la Trinité catholique). Le culte du « Saint Graal », « Vase sacré » des Mystères, et le « Secret de Bismillah », semblent une réaction contre ces trois phallus.
    Rappelons enfin que c’est parce que la secte catholique savait, depuis Paul (325), que sa faiblesse venait de son infériorité intellectuelle, qu’elle surveillait avec tant de soins tous les efforts tentés pour élever les esprits, pour éclairer les consciences, attentive au moindre bruit pour l’étouffer, surveillant les idées qu’elle voyait germer, étouffant toute voix qui voulait s’élever, bannissant toute liberté, hors la sienne, enfin, employant avec une habileté incroyable le système de lâcheté qui consiste à opprimer les faibles.
    Mais, quels que soient les efforts faits pour détruire les témoignages du passé, il nous en reste, cependant, assez pour le reconstituer dans ses grandes lignes. C’est qu’il est une chose qui n’a pas pu être détruite, ce sont les lois de la psychologie qui nous révèlent la marche de l’évolution humaine. Et les actes de violence accomplis pour étouffer le passé sont des faits qui, à eux seuls, nous donnent plus d’indications sur ce qu’a été l’homme que bien des livres détruits.

    Suite



  • vote
    Étirév 19 avril 11:46

    C’est un ancien employé de « Goldman Sachs », Jim O’Neill, qui a inventé le terme acronyme BRIC en 2001. Quelques temps après son départ de Goldman Sachs (en 2013), Jim O’Neill occupera (en 2015) un poste au sein du gouvernement de Sa Majesté en tant que secrétaire commercial au Trésor. Son rôle principal était de travailler sur le projet « Northern Powerhouse » et d’aider à redynamiser le commerce avec la Chine, car, assurément, il était clair pour lui (mais pas que) que la prospérité économique devait être cherchée dans la région asiatique. De 2014 à 2016, O’Neill sera également à la tête d’une commission internationale chargée d’enquêter sur la résistance mondiale aux antimicrobiens ; en 2018, « Lord » O’Neill publiera même un livre dont le titre est « Superbugs : An Arms Race Against Bacteria », dans lequel il promeut l’utilisation de vaccins pour lutter contre les « superbactéries ». Pour finir, notons qu’il a été président du Conseil de « Chatham House » (certains disent plutôt « Shatan house ») de 2018 à 2021, et qui est l’équivalent britannique du Council on Foreign Relations américain (C.F.R.), ce véritable « gouvernement de l’ombre » des États-Unis.
    En août 2013, Jim O’Neill déclara que l’acronyme « BRIC » n’avait plus aucun sens : « si je devais le changer, dit-il, je ne laisserais plus que le « C », avant d’ajouter ironiquement : « mais cela ne ferait sans doute pas un excellent acronyme… »
    L’acronyme anglais BRIC est donc apparue en 2001 en référence à quatre pays : Brésil, Russie, Inde et Chine. BRIC s’est transformé en BRICS en 2011 avec l’intégration de l’Afrique du Sud.
    En 2014, les BRICS ont créé leur propre banque de développement (New Development Bank) dont le siège est à Shanghai, en Chine.
    Remarquons que les années 2001, 2011 et 2014 ont, sur le plan international, connu d’autres évènements, bien plus retentissants et, surtout, dramatiques, qui allaient bouleverser le monde.
    Abracada...BRICS ! : « Tout changer pour que rien ne change »



  • vote
    Étirév 18 avril 07:49

    Les vérités qui font peur en France, notamment à ce que Jean Parvulesco appelait la « confrérie faisandée des historiens conventionnels ».
    Voici un faits sur lequel la légende de sainte Geneviève (422-512) jette une lumière inattendue.
    Elle nous dit : « cinq ou six mois après la défaite d’Attila, Mérovée, roi des Francs (Saliens), vint assiéger Paris, encore au pouvoir des Romains. Le siège durait depuis quatre ans quand Mérovée s’en rendit maître. »
    Alors, comment se fait-il que Geneviève régnait à Lutèce quand Attila s’en approcha et qu’elle y exerçait une autorité morale suffisante pour intervenir dans les faits de guerre et pour protéger la ville ? Et comment cette ville dans laquelle règne une femme gauloise est-elle assiégée par Mérovée, 3ème roi de France ?
    C’est évidemment qu’il y avait séparation des pouvoirs : le spirituel (féminin) et le temporel (masculin).
    C’est qu’il y avait deux Frances : celle des Saliens masculinistes, dont Mérovée est le petit roi et qui n’a qu’un tout petit territoire à l’Est, et celle des Ripuaires féministes, qui reconnaît le pouvoir spirituel et qui est allié à ceux qui occupent le reste de la Gaule, y compris Paris.
    Voilà ce qui va nous expliquer l’histoire de France, qui ne sera qu’une lutte de sexes : les masculinistes et les féministes : l’une qui veut la Vérité et le Bien, l’autre qui veut l’erreur et le mal ; l’une qui va produire des persécuteurs, et l’autre des persécutés.
    Les historiens masculins ne nous parleront jamais que des Francs Saliens (les masculinistes), ils tairont ce qui concerne les peuples féministes de la Gaule. Et toute cette primitive histoire de France ne sera que l’histoire du petit parti des révoltés saliens, affranchis de la morale, de la raison, du devoir et de la soumission au Droit divin de la Déesse-Mère, ce qui nous est révélé par cette phrase : « Qui t’a fait roi ? »
    Il y a donc une autre histoire de France à faire, celle des peuples légitimes de la Gaule Celtique, vaincus, après de longues luttes, par les révoltés illégitimes.
    Et cette histoire fut si glorieuse que, malgré tous les efforts faits pour la cacher, nous trouvons encore assez de documents pour la reconstituer.
    Lien



  • vote
    Étirév 16 avril 15:01

    Après 1789, la France est passée d’une monarchie qui avait pour contre-pouvoirs tous les corps intermédiaires, à une oligarchie financière dénuée de tout contre-pouvoirs, le tout sous le vocable trompeur de démocratie. La démocratie est le vêtement dont se pare le pouvoir sous le prétexte qu’existe une représentation populaire, mais cette représentation est, dans les faits, c’est-à-dire concrètement, non pas populaire mais contrôlée par des partis politiques sous influence des « puissances d’argent ».
    Lien



  • vote
    Étirév 16 avril 07:20

    Le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) est l’un des mécanismes clés dans le cadre du financement de la future monnaie mondiale.
    Le FEM, « validé » par le biais des Nations Unies en 1992 (grâce à la cooptation des hauts fonctionnaires ministériels de 179 pays), lors de la conférence sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de « Sommet de Rio », est une organisation financière indépendante gérant le système de financement destiné, soi-disant, à mener des actions pour la préservation de l’environnement, dans le cadre du « développement durable ». Il accorde, entre autres, des subsides au projet lié à la lutte contre les effets du pseudo réchauffement climatique. « Pseudo », en effet, car il est avéré que la température, plus élevée dans les temps anciens, s’abaisse graduellement ; le mensonge du « réchauffement climatique » est destiné, en partie, à faire croire que les « élites » actuelles et leurs scientifiques dits « sérieux » peuvent apporter tous les progrès, même ceux du climat.
    À ce sujet, rappelons simplement que l’on observe dans la Nature deux espèces de mouvements : des mouvements « spontanés » et des mouvements « transmis ». Cette seconde cause de mouvement engendre des déplacements qui déterminent la plupart des phénomènes météorologiques en dérangeant la stabilité de l’enveloppe gazeuse de la terre. Nous voyons que c’est cette cause qui détermine la chute des corps à la surface terrestre. Cette pesanteur planétaire (force que l’on a si mal expliquée jusqu’ici, et qui ne répond nullement à la cause qu’on lui a assignée) est le résultat de la pression exercée par l’Azote qui forme l’atmosphère des planètes sur les corps qui constituent leur surface ou sur ceux qui sont libres autour d’elles. Cette réaction constante de l’Azote vers la terre, qui lui a pris sa place dans l’espace, n’est pas la seule réaction qu’il exerce. Il tend aussi à se dilater dans une autre direction, c’est-à-dire vers les régions célestes de l’infini. De ce côté il est contenu par l’action dynamique des radiations qui le frappent incessamment. Mais les radiations ne sont ni immuables ni éternelles, elles sont, au contraire, dans un état constant de variabilité. Or, chacun des changements qui surviennent dans leur mode d’action se traduit, dans les profondeurs de notre atmosphère, par un changement d’état de la réaction de l’Azote. Ainsi, tout ce qui se passe sur la terre (froid, chaleur, vent, tornades, etc.) à une cause cosmique ; tout dépend de l’action des astres. C’est dans les profondeurs de l’océan céleste qu’il faut aller chercher la cause de la plus légère brise qui souffle autour de nous. La terre y est étrangère. L’esprit de l’homme, perdant de vue l’Univers, s’est confiné dans son petit monde et a voulu y trouver la cause de tout ce qui existe. C’est là une méthode mesquine que la science de l’Univers détruira.
    Disons également deux mots à propos du Carbone et de sa désassimilation, c’est-à-dire sa présence dans l’organisme à l’état d’acide carbonique qui est la forme ultime qu’il prend et sous laquelle il est expulsé du corps ; opération qui s’effectue aussi dans les plantes et dans les animaux. Le carbone subit dans l’organisme mille modifications en s’unissant aux divers éléments qu’il rencontre ; finalement, il est rejeté du corps et, alors, remis en liberté dans l’atmosphère où, après fort peu de temps, et sous différentes actions physiques et chimiques, l’acide carbonique est décomposé en ses éléments, c’est-à-dire retourne à son état primitif et rentre dans le grand réservoir commun d’Azote et d’Oxygène. L’acide carbonique se décompose par la chaleur. C’est pourquoi, en été, alors que la vie végétale a le plus d’activité, la chaleur est presque toujours assez élevée pour décomposer l’acide carbonique de l’atmosphère. C’est parce qu’en été tout l’acide carbonique jeté dans l’air par les hommes, les animaux, les plantes et par les foyers de combustion est promptement décomposé et rendu à son état primitif, que l’air est pur, tandis qu’à basse température cette décomposition ne s’opère pas ; donc, en hiver l’air est moins pur. Rappelons que les partisans des causes finales expliquent l’apparition des végétaux sur la terre avant celle des hommes et des animaux par la nécessité de purifier l’atmosphère par leur respiration, en lui enlevant l’acide carbonique qu’ils supposent y avoir régné, et en fabriquant des tissus qui puissent servir de nourriture aux herbivores, lesquels, plus tard, pourront servir de nourriture à l’homme. Donc, pour eux, il existe un Créateur qui, dès l’origine du monde, a eu en vue la création de l’homme, but et fin de toutes choses, qui a préparé, longtemps à l’avance, cette création ultime par une série de création préparatoires, qui a façonné un monde pour pouvoir, un jour, inviter cet être privilégié à venir en prendre possession. Et pour soutenir de pareilles extravagances, on invoque des faits scientifiques, on torture la pauvre science qui sert de prétexte à tant de divagations. C’est pour soutenir cette idée absurde qu’on a imaginé de dire qu’il fallait des végétaux pour enlever à l’air un excès d’acide carbonique que l’on a inventé pour la circonstance, afin que l’homme et les animaux pussent venir, plus tard, vivre dans cette atmosphère primitivement impure. De cette manière on fait servir les conclusions d’une théorie qui est fausse, à la confirmation d’une idée qui n’est pas moins fausse. Tout cela est de la fable et constitue la mythologie scientifique des « Lactance », « Arnobe » et autres « Fénelon » actuels.
    Pour revenir au Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM), soulignons que, à l’origine, il est issu du « 4ème Congrès Mondial des Terres Sauvages » (4th World Wilderness Congress) organisé en 1987 par la Banque Rothschild, et le Baron Edmond de Rothschild lui-même. Quelque 1 500 banquiers et dirigeants parmi les plus puissants du monde ont assisté à ce congrès qui était présidé par l’homme politique, membre de la haute finance canadienne et agent de « N. M. Rothschild & Sons » à Londres, Maurice Strong (1929-2015). Co-fondateur du WWF, ancien Secrétaire général de la Conférence des Nations unies sur l’environnement et co-directeur de l’Aspen Institute, Maurice Strong était aussi membre fondateur du GIEC (créé en 1988) et de l’« Earth Council », dont il deviendra le Directeur. Créé en 1992, au Costa Rica, pour coordonner la réalisation des programmes de l’« Agenda 21 », l’« Earth Council » a aussi comme membre fondateur Klaus Schwab, accessoirement « Monsieur Great Reset », mais surtout fondateur du « World Economic Forum », les Symposiums annuels qui depuis 1971 réunissent à Davos, en Suisse, les hommes du « Big Business ».
    NB : Robert Lattès, membre du Club de Rome (financé par Rockefeller), écrivait (dans Le Nouvel Économiste n°3 du 27/10/1975) que « Sans un nouvel ordre monétaire mondial, il n’y aura pas de nouvel ordre économique, tant le premier commande au second. ». Rappelons que le Club de Rome est cette organisation technocratique fondée en 1968 par Aurelio Peccei (à l’origine de l’émergence du concept de « développement durable »), ancien affilié du Groupe « Bilderberg » et Alexander King, ex-président de l’International Federation of Institutes of Advanced Study (I.F.I.A.S.) et également ancien membre du Groupe Bilderberg. On retrouve ces deux personnages à l’International Conference on the Unity of the Sciences (I.C.U.S.), un organisme également créé en 1968 par la Fondation Culturelle Internationale (I.C.F.), c’est-à-dire le nouveau mouvement religieux de « l’Église de l’Unification », dont le grand patron n’était autre que le fameux coréen Sun Myung Moon, et que la presse mondiale désigne communément sous le nom de « secte Moon ».
    Lien

Voir tous ses commentaires (20 par page)

Les thèmes de l'auteur


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité