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  • Premier article le 16/05/2015
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  • vote
    ffi 27 août 2024 12:10

    @Gollum
    "Le fonds diffus cosmologique se détecte partout c’est bien sa spécificité. Alors que l’héliopause est strictement circonscrit au système solaire, soit une infime partie de l’Univers..

    "

     smiley Si le fond diffus cosmologique s’observe de partout alentour, note bien qu’on ne l’a néanmoins jamais observé que depuis la Terre, qui est un point singulier dans l’espace (Je te rappelle pour la 10e fois que la science, c’est "Ici et maintenant"). Du coup, ta répartie est un peu "bête".

    L’Héliopause, en tant que "peau" aux confins de l’héliosphère (système solaire), nous englobe. Elle est elle-aussi de tous cotés, où que l’on regarde depuis la Terre.

    Mais je t’invite expressément à envoyer ton armada de radiotéléscopes au-delà de l’héliopause pour me prouver que l’on observe bien le même fond diffus cosmologique en-dehors de l’héliosphère. Auquel cas, j’admettrais bien volontiers la réfutation de mon hypothèse. smiley



  • 2 votes
    ffi 27 août 2024 11:46

    @micnet
    Et j’ajoute que la session COVID n’a fait que le confirmer, et de manière éclatante, car déjà avant, il y a le précédent du "réchauffement climatique d’origine Anthropique" où là, pour le coup, ça s’est bien déchainé aussi.
    Ou encore, le pétrole vu comme ressource fossile (alors que les hydrocarbures sont communs dans le système solaire comme dans les spectres cosmiques).

    On pourrait encore ajouter des pistes de recherche fascinantes purement et simplement ignorées, parfois à coup de dérision, comme le rôle de l’électromagnétique en biologie (Benveniste), la cosmologie plasma (Hannes Alfvén), l’expansion terrestre,...etc.

    Les théories, ça ne peut manquer que par défaut d’imagination.
    On voit qu’il y a de l’imagination, mais qu’un seul et unique chemin est financé et permis.



  • 1 vote
    ffi 27 août 2024 06:54

    @Gollum
    Tu aimes les fausses distinctions :
    L’intérêt d’une expérimentation c’est de donner quelque chose à voir.
    Toute expérimentation aboutit toujours à des observations (c’est son but justement). Mais elle doit permettre de contrôler finement les conditions de l’observation et de la générer à la demande pour être utile à la recherche.

    C’est l’ennui avec la cosmologie : les conditions des observations ne sont ni contrôlables, ni contrôlées. Le fond diffus cosmologique, par exemple, c’est une radiation, dont on assure qu’elle émane d’un corps noir porté à 3000°K il y a 13 milliards d’années, qui se serait refroidie depuis. Déjà qu’une radiation se refroidisse, c’est bizarre. Et de 3000°K à 4,7°K, en 13 milliards d’années, c’est extrêmement lent.

    Mais je t’invite naturellement à expérimenter la chose : Fait un petit big bang en éprouvette chez toi, vérifie qu’il se comporte bien comme un corps noir, vérifie qu’il génère un rayonnement à 3000K après 380 000 ans, puis vérifie que cela aboutit bien à un rayonnement à 4,7°K après 13 milliards d’années.

    Tu seras le premier à publier ces résultats dans "Nature" et tu auras certainement le prix Nobel. Mais dépêche-toi : le premier qui publie a gagné. D’autres s’activent déjà en coulisse pour te prendre de vitesse.

    D’autre théorie explicatives de ce rayonnement ont existé, comme la diffusion d’un rayonnement quelconque venu d’un objet proche. D’autres explications peuvent être certainement proposées. Peut-être est-ce une observation de l’héliopause ou de l’héliogaine ?

    Mais tu t’es trahi dans ton message précédent : Pour toi, le moyen de faire progresser la science, c’est le vraisemblable. C’est évidemment faux, car c’est la métaphysique qui progresse ainsi, comme l’a montré Popper, et c’est pour cela que tu t’embrouilles complètement, incapable de distinguer entre ce qui se rapporte au savoir et à la croyance.

    Le "consensus scientifique" a justement cette fonction de faire adhérer de force les chercheurs à des choses insuffisamment démontrées, par une pression de conformisme social, qui permet l’auto-censure de toutes les question gênantes. Mais si cela ne fonctionne pas, il y aura pression financière dans un second temps, pour les fortes têtes, voire plus.



  • vote
    ffi 26 août 2024 12:43

    @Gollum
    Tu me reproches ce que tu cherches toit-même à faire alors que je ne le fais pas moi-même (me vendre comme vérité scientifique une mythologie indémontrable).

    Pas besoin d’expérimenter jusqu’à l’infini : La théorie qui affirmerait que, aujourd’hui, sur Terre, lâcher un caillou suffit à le faire monter dans le ciel est immédiatement réfutable par n’importe qui. Ce genre d’énoncé est de l’ordre de la science.

    L’énoncé scientifique est valide quand il est localisé (ici et maintenant), d’une manière que l’expérimentation soit possible.

    Mais un Big-bang, il y a 15 milliards d’année, ou bien une génération spontanée il y a 500 millions d’année... comment les tester ? J’attends tes suggestions...
    (hors jeu vidéo à coup d’effets spéciaux ou autres simulacres informatiques qui sont de fait hors des réalités, mais virtuels)

    Le consensus est évidemment une sorte de dogme. La vraisemblance n’est pas scientifique, mais métaphysique (dedans, il y a vrai, mais il y a aussi semblant, donc c’est un simulacre de vérité, une simulation). Comment un discours pourrait-il se prouver par lui-même être conforme aux faits ?

    Comme le dogme, le consensus n’est utile que pour éviter de discuter à l’infini : une autorité s’impose pour trancher.

    Mais en matière de sciences, c’est l’expérimentation qui doit trancher les discussions. La méthode scientifique consiste à expérimenter récursivement pour faire coller les discours aux faits.

    Le consensus, c’est d’abord une restriction faite à l’expérimentation, puis la confusion entre science et religion (scientiste).



  • vote
    ffi 26 août 2024 10:36

    @Gollum
    Ta réfutation reste dans le domaine de la logique ; sans expérimentation concrète (De toute façon, Dieu peut transporter tout là où il veut, il n’a même pas besoin de Noé pour sauver les espèces qu’il veut sauver).

    De plus, à l’image de ce que tu m’imputes (à tort), tu cherches à crédibiliser les mythologies scientistes actuelles en décrédibilisant le mythe Noachide. Mais tu ne me convaincs pas, car, d’une part, je trouve ce mythe absurde moi aussi.

    D’autre part, mon objet n’est pas de crédibiliser les mythes bibliques, les gens croient ce qu’ils veulent, mais de montrer que certaines choses qui sont affirmées comme des vérités scientifiques n’en sont pas.

    Karl Popper insiste à raison sur ce fait que seule une théorie qui permet de construire des énoncés falsifiables par l’expérimentation peut être considérée comme scientifique. C’est tout-à-fait logique. C’est à l’expérimentation de permettre trancher entre plusieurs discours, pour éviter des querelles sans fin. Par exemple, Lavoisier se promenait dans Paris et démontrait aux passants l’hydrolyse de l’eau pour illustrer sa nouvelle Chimie.

    Aujourd’hui, ce n’est pas ce qui se passe : c’est le consensus qui réalise cette démarcation entre science et métaphysique. Or le consensus, c’est juste un dogme.

    Aucun expérimentation n’est proposée pour falsifier le Big-bang, les trous noirs, la sélection naturelle. De fait, elles sont impossibles car ces concepts se placent dans des lieux ou des temps qui sont parfaitement inaccessibles à l’expérimentation. (Quant à la "vie logicielle" de Google. C’est du jeu vidéo et du simulacre.)

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