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ffi

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  • Premier article le 16/05/2015
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  • 2 votes
    ffi 4 mai 23:02

    Je pense qu’elle spécule quand elle évoque la Chine. C’est plutôt l’élite Anglo-Saxone.

    Ce que j’ai appris, c’est que les institutions internationales permettent d’agir sous couvert d’immunité diplomatique.

    Sophie évoque le fait que la justice ne peut pas perquisitionner à la BRI.

    Cela peut être très intéressant pour quelque richissime individu d’y mettre pied. Comme Bill Gates à l’OMS.

    C’est à dire que derrière le paravent du droit international, il y a une porte secrète, dérobée, qui permet d’agir en dehors de tout droit.

    Donc on comprend tout maintenant. Les oligarchies trustent ces institutions, y font de beaux discours par devant, mais peuvent magouiller tranquillement par-derrière, bien à l’abri de l’immunité diplomatique. Ce sont juste des pirates.



  • vote
    ffi 27 avril 11:13

    @yoananda2 Si tu en est débarrassé, pourquoi donc as-tu encore besoin de le couvrir d’invectives ?

    C’est qu’un petit pays chrétien de 150 millions d’habitant met en échec la coalition des occidentaux, pourtant peuplées de 800 millions de personnes.

    Et c’est normal : l’occident n’a plus les idées claires.

    La vérité qu’il faut attendre d’une religion est d’abord sa capacité à conserver chez l’homme sa clarté de jugement, quelles que soient les situations.

    Maintenant, Dieu attend la moisson pour trier le bon grain de l’ivraie.



  • 2 votes
    ffi 27 avril 00:36

    Revenir au paganisme où pour penser chaque relation de cause à effet, il faut inventer une histoires entre des Dieux ? Bizarre comme suggestion. D’autant plus que certains paganismes pratiquaient le sacrifice humain...

    Mais le paganisme, ça reste un terme générique, qui recoupe tout un ensemble de religions très diverses, voire contradictoires entre elles, dont on aura, de toute façon, au mieux des connaissances lacunaires, au pire une vision fantasmagorique.

    Pour en revenir à la vidéo, le gars nous fait juste une analogie foireuse entre je le cite "la racaille de banlieue" (terminologie que je trouve ignoble) et les premiers chrétiens...

    Il plaque ses fantasmes sur le monde d’aujourd’hui sur un monde passé qu’il réinvente à sa sauce pour l’occasion.

    C’est très malin, puisque ce monde passé a irrémédiablement disparu, aucune réfutation incontestable ne peut prendre prise : le débat tournerait nécessairement à un duel sur ce qu’on imagine d’un passé révolu.

    Mais en vérité, l’analogie qu’il y a est bien plus simple au fond, elle est passionnelle et tient en une simple phrase qui ne mérite pas tant de discours

    Ce monsieur hait le christianisme, comme il hait la ’racaille de banlieue’. L’analogie est par la haine.

    Ainsi, puisqu’il est question de ses propres états d’âme, dont il témoigne les dérangements, et c’est vrai que ressentir de la haine c’est pénible, je le comprends, surtout quand on est dénué des moyen de s’en guérir, je lui laisse voir ça tout seul avec sa conscience propre, une tranquille nuit d’été. Bisous.



  • 1 vote
    ffi 26 avril 20:58

    Les grecques ont porté haut l’art des concepts. En revanche, ils n’ont pas eu cette idée lumineuse de tracer des trajectoires dans le temps, et d’y appliquer les lois de la géometrie... Il fallut attendre le 14e siècle et l’évêque de lisieux, Nicolas Oresme, de la Sorbonne, en pleine scolastique, pour que cette révolution scientifique advienne. Ce brave homme avait déjà démontré que la croissance linéaire de la vitesse impliquait une accélération constante. Il avait même écrit que le géocentrisme n’était qu’une hypothèse, héritée des Grecs (Aristote). La seconde révolution est venue de Pierre de Fermat, au xvii, avec son génial algorithme d’adégalisation sur les courbes, qui aboutira au calcul Différentiel de Leibniz, et achèvera ainsi l’art de déterminer les quantités. Les Gallilée et les Newton sont largement des imposteurs. L’histoire ne retient hélas que ceux qui font le plus de tapage. Mais ce ne sont jamais ceux-là qui inventent, car trop occupés à se mettre en avant.

    C’est le nominalisme Anglo-Saxon qui l’a emporté, et il nous a fait rerentrer Aristote par la fenêtre, tout imbu de taxonomie qu’il est.

    La science moderne est toute embrouillée.

    Quant aux doctrines politiques, elles suivent toutes le même paradigme : la lutte, la concurrence entre des substances opposées, selon la croyance du conflit créateur. C’est du manichéisme et cela résulte de la Gnose.

    L’occident est aujourd’hui d’une science nominaliste et catégorique, comme d’une politique manichéenne et gnostique. Vous trouvez que ça fonctionne bien ?

    Quant au retour au paganisme, les Nazis l’ont déjà tenté...

    Bien sûr qu’il faut croire au catholicisme, c’est notre patrimoine. Sa réussite insolente, malgré son apparente fantaisie, reste un mystère pour tous ceux qui s’enorgueillissent encore de l’excellence de la pensée scientifique et politique moderne tout en constatant malgré tout son marasme...

    Les choses sont très simples : depuis que la pensée nominalo-aristoto-manichéo-gnostique de l’empire anglo-saxon a pris les rènes en occident, l’occident sombre dans le marasme et la décadence.



  • vote
    ffi 8 avril 12:23

    Quelques infos intéressantes. Cependant, il récite encore trop sa leçon classique d’économie, avec un long passage introductif sur les thèses d’Adams Smith (du XVIIIe siècle !)... Ces thèses qui me semblent le point de départ (et de justification) de toutes les dérives ultérieures en la matière...

    La conception de la monnaie qu’il nous présente se perd donc dans les nuées obscurcies du profond brouillard idéologique de l’impérialisme Britannique.

    Il rate le principal. La monnaie a bien une contrepartie dans le réel. Ce n’est pas si compliqué. En tant que moyen d’échange de biens dans la société, la monnaie a deux faces : 

    • Une face sociale, qui qualifie les services rendus à la société par l’individu : en récompense des efforts fourni pour autrui, l’individu se voit rétribué, notamment en fonction de la qualité de l’effort fourni : Il faut fournir un Bien à la société pour être rétribué (ex : un vol, un crime ou un recel ne sont pas des efforts légitimes, donc leurs gains ne sont pas valides)

      . De ce point de vue, la monnaie est directement lié au droit. C’est un droit d’avoir, crucial, car il nous permet finalement d’exister. Par exemple, notre société actuelle lie en partie la monnaie au simple fait d’avoir la dignité d’homme. Les droits sociaux viennent comme des allocations de sommes monétaires. Au moyen-âge, acquérir la dignité de noblesse venait toujours avec des rentes assurées sur le domaine donné en apanage. L’étalon de la mesure de la qualité des Biens produits dépend éminemment de la culture de la société.

    • Une face physique, qui quantifie l’importance de l’effort fourni pour produire le Bien concerné par l’échange. Il est normal qu’un Bien qui exige beaucoup de travail soit plus cher qu’un autre. Le travail, en sciences physiques, ça se compte en Joule, qui est l’unité d’énergie. En physique, le travail est une quantité d’énergie qui est directement utilisable, contrairement à la chaleur qui est une unité d’énergie qui se disperse. Pour transformer la chaleur en travail, il faut nécessairement un moteur. Le travail est donc l’effort utile à la société, et la monnaie, d’un point de vue physique, se doit donc d’avoir pour unité physique étalon le JOULE. Les États-unis ne s’y sont pas trompés, en imposant toute transaction d’échange de pétrole en dollars.

      Et c’est ce qui assure leur domination sur le travail de tous les peuples du monde. Une preuve de cette pertinence du lien qui lie la monnaie à l’énergie est qu’on constate systématiquement une corrélation entre variation du PIB et variation de la consommation d’énergie.

    La monnaie actuelle est déconnectée de la réalité, sa valeur ne reposant sur aucune mesure fiable (le paiement du pétrole en dollars n’étant qu’une manière de domination). Par conséquent, le niveau des monnaies fluctuent au gré des spéculations. Il est ahurissant de promouvoir le libre-échange entre des zones économiques dont les niveaux de salaires n’ont rien à voir. Quant à l’aspect justice sociale de la monnaie, il est également en voie de disparition, puisque la liberté d’échange des capitaux permet d’échapper, grâce à diverses lessiveuses d’argent sale via les paradis fiscaux, comme à l’anonymat du contrôle des capitaux, à toute possibilité de régulation de la qualité des droits acquis sous forme de signes monétaires. La monnaie actuelle est frelatée. Elle ne correspond à rien de pertinent, ni socialement, ni physiquement. Elle permet tant d’accumuler des faux droits que de compter des richesses illusoires.

    La monnaie est un aspect crucial de nos sociétés. C’est bien dommage que la réflexion dans les cercles de la recherche en France soit tellement rudimentaire et convenue. David Cayla récite bien sa leçon des doctrines académiques, mais ça ne suffit pas.

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