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ffi

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  • Premier article le 16/05/2015
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  • 1 vote
    ffi 2 janvier 2020 19:27

    @gaijin
    NB : une scop n’est pas une société anarchique, l’écart des salaires est souvent limité dans les statuts. Il y a évidemment une hiérarchie dans une Scop. L’ouvrier n’est pas le directeur, même s’il peut participer aux assemblées générales.

    Prend l’exemple d’une grande scop, comme Mondragon en Espagne, elle a finit par ouvrir des usines au Maghreb, y embauchant selon un statut classique de salarié. Chez les socios, l’écart de salaire serait de 1 à 12. Il faut payer 10 000 euros pour être embauché.
     
    Ceux qui sont mieux payés sont d’abord ceux qui sont au plus près du robinet à pognon. Comme le sang, le pognon afflue vers la tête : les hautes sphères en prennent donc la plus grande part. Premier arrivé, premier servi.

    Malheureusement, l’homme est fait ainsi. Dès qu’il doit se prendre en ligne de compte, il se voit, par illusion, plus grand que les autres (sauf pour moi, qui me vois plus grand qu’autrui à raison, mais c’est un cas particulier, je vous expliquerai). Il s’ensuit que l’arbitrage pour un patron ou un directeur est assez rapide quand il s’agit de répartir les salaires. Il ne peut se payer comme un balayeur, question d’honneur ! C’est une tendance tout-à-fait naturelle.

    C’est évidemment le rôle de la puissance politique de limiter les écarts de salaire, rôle qu’elle a abdiqué, du fait de son idéologie libérale-libertaire.



  • vote
    ffi 2 janvier 2020 13:44

    @toubib41
    C’est parti pour tout mélanger...
    Vous savez, il y a une petite émotion, la panique, qui rend comme tout fou. Faudrait apprendre à la maîtriser. Des petits rusés peuvent s’employer à faire naître ce sentiment en vous pour vous rendre impotents.

    Ce type-là, c’est un arriviste. C’est si humain. Les ambitieux cherchent les bons filons pour en tirer profit personnel. Dès qu’une idéologie est à la mode, on les voit pulluler. Mais je le redis, scientifiquement, rien ne prouve un réchauffement climatique d’origine anthropique. Le nombre d’ouragan n’augmente pas et rien ne prouve qu’il va augmenter.



  • 1 vote
    ffi 2 janvier 2020 09:44

    Encore un nouveau gars qui veut se faire passer pour un prophète de la planète...

    Soyons sérieux 5 minutes : En général, il est quasiment impossible de prouver un lien de causalité. Seules des situations particulières, lorsqu’il est possible de produire le phénomène étudié dans des conditions contrôlées, dans une éprouvette, ou en laboratoire, le permettent.

    Or, on ne peut pas mettre la Terre sous cloche. Les scientifiques n’ont trouvé que des corrélations.

    L’effet dans une serre ne vient pas d’un piège à rayonnement, mais d’un blocage de la convection. Lorsque l’air est chauffé, il s’allège, donc s’élève, par principe d’Archimède. Dans une serre, ce n’est pas possible, la lame d’air est maintenue immobile, donc la chaleur s’y concentre.

    À l’origine, il y a une erreur de conception du savant Arrhenius qui n’a juste pas compris comment fonctionnait une serre. C’est une vielle théorie du début du XXe siècle. C’est pourquoi le Giec va parler de « forçage radiatif », plutôt que d’« effet de serre ».

    En fait, le CO2 n’a que deux petite bandes d’absorption sur l’immensité du spectre électromagnétique. Angström, en découvrant le spectre du CO2 se serait vertement écharpé avec Arrhenius.

    Au final, on a quoi ? Des corrélations, sur lesquelles on a construit des supputations, assistées par ordinateur : vu comme on sait faire des effets spéciaux en informatique, cela ne prouve rien ; Autant prendre un film d’Hollywood pour la réalité le programmeur sait arriver là où il veut. De ces supputations, nos politiciens tirent des lois, obligations, des contraintes, augmentent les taxes, pour dépenser des sommes d’argent considérables, ceci avec bonne conscience (Un politicien adore contraindre au nom du Bien)

    Ce sont des fous, je n’ai pas d’autre mots. D’une imprudence folle.



  • vote
    ffi 1er janvier 2020 19:30

    La thèse est assez classique et bien explicitée. Cela peut rappeler Dany-Robert Dufour. Je note un point :

    Le terme capitalisme est employé à la place du terme libéralisme.

    En effet, ce qui a incité les états à autoriser une accumulation sans limite de capital, c’est l’idéologie libérale. Le libéralisme, c’est cette licence donné à tous de pouvoir accumuler sans limite, laquelle, au final ne profite qu’à très peu. Le capitalisme, c’est le culte qui en découle, cette occupation compulsive des financiers d’amasser, permise par le libéralisme.

    Si le diagnostique est correct, le philosophe ne va pas aux conclusions. Il déplore l’absence d’interdit d’accumulation, mais n’arrive pas à comprendre que pour le rétablir, il faudrait un pouvoir, au minimum, autoritaire, qui n’hésite pas à croiser le fer avec les puissances financières.

    Cela aurait naturellement pour corolaire des tensions géopolitiques. Nul doute que les Puissances géopolitiques qui n’auraient pas la même approche défendraient les intérêts de leurs géants économiques. En premier lieu, les USA, par exemple.

    La réflexion doit donc continuer : comment parvenir à faire entendre la nécessité d’une limite ? Comment parvenir à mettre en place de telles limites ? A quel seuil fixer cette limite ? Faut-il la fixer en matière de revenu, en matière de capital ?



  • vote
    ffi 31 décembre 2019 18:56

    @yoananda2
    Quel besoin de recourir aux mathématiques quand il n’y a qu’à ouvrir les yeux ?

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