Mr Olivenne a-t-il oublié la politique du Franc fort de Mitterrand, qui a aboutit à faire entrer la France avec un Franc surévalué dans l’Euro ?
Quel libre-échange quand les taux de changes sont trafiqués ?
Le salaire est un droit d’avoir, donné en proportion de l’utilité sociale que l’on remplit. En principe, celui qui donne plus, doit recevoir plus.
Cependant, cette utilité doit se jauger dans une contexte où justice et économie sont intimement liés. En effet, que savons-nous des montants d’argent venus du bout du monde, sont-ils issus de comportements déviants et criminels ? Si tel est le cas, alors cet argent ne vaut rien : le fruit d’un forfait ne donne aucun droit d’avoir, puisque le forfait est nuisible.
La souveraineté, c’est un paquet. Le judiciaire et monétaire ne sauraient être séparés. C’est pourquoi l’échange ne peut être libre, mais doit être encadré.
Ce que je regrette, dans sa pensée économique, c’est qu’il ne prend pas assez en compte le fait que les taux de change ont des valeurs en grande partie arbitraires. D’une, il n’y a pas d’étalon monétaire. De deux, s’il y en avait un, il serait impossible de fixer de manière juste la valeur des monnaies par rapport à celui-ci.
Les taux de change ne sont pas une science exacte. Le libre-échange, avec sa concurrence libre et non faussée, est donc une impossibilité de fait.
Il faut donc revenir, progressivement, à une forme de protectionnisme.
La véritables motivation est à mon avis géopolitique : les élites occidentales voient d’un très mauvais oeil l’accumulation pharamineuse de cash des islamo-pétrarchies, d’où que ces élites poussent tant qu’elles peuvent à la fable du réchauffement climatique causé par le CO2 : elles se sentent en danger. Le dollars a déjà failli s’effondrer dans les années 70 à cause des pétro-dollars. Ceux-ci pourraient venir à financer des guerres islamiques de conquête. Peut-être même fut-ce déjà le cas.
En second strate, il y a les écolos qui sont de simples croyants, aux idées approximatives, bercés par leurs illusions, bernés par un mensonge.
Rien ne prouve que l’énergie puisse manquer à court terme. On trouve toujours du pétrole et du gaz. L’uranium possède une densité d’énergie énorme et est abondant. De plus, on vient juste de découvrir, il y a moins de 10 ans, que de l’hydrogène émane naturellement un peu partout du sous-sol, nouvelle source d’énergie à exploiter.
Le pb de FI, c’est qu’elle prend des vessies pour des lanternes. En matière d’énergie, prôner le 100% renouvelable comme objectif est d’une impossibilité physique radicale. D’une part, dans notre atmosphère oxydante, toute chose s’use, il faut donc sans cesse investir dans la maintenance des infrastructure, dont la rénovation peut coûter cher. D’autre part, la nature intermittente des énergies prélevées (vent, soleil), implique l’usage de centrales thermiques.
Ces mesures sont typiques des propositions griphonnées sur un bout de table par un parterre de militants mus par une idéologie déconnectée des réalités essentielles.
C’est manifestement un programme fait par des incompétents. Seule une fatuité immense leur permet de prôner ceci. En deux mots, ils sont fous et inconscients.