Là encore, comme avec
Charles Rojzman, et bien que Claude Rochet fasse allusion à la théologie et au
"bien que procure le fait d’être en communion", Violaine Hacker ne
croit pas utile de questionner sur la théologie criminogène, et sur
l’entêtement des religions - dont
les deux plus pacifiantes, le christianisme et le bahaïsme - à la faire perdurer.
Or, à la remarque de
Léo Strauss énoncée au début de l’entretien pourrait être ajoutée celle-ci, de
même nature :
Si les religions ont
le droit d’enseigner une prétendue juste
criminalité, celle qui est attribuée à Dieu, le droit de
massacrer n’est qu’une question de motivation.
http://www.blog.sami-aldeeb.com/2011/09/18/benoit-xvi-premier-responsable-de-la-violence-religieuse/