On s’en fout. Tu mélanges constat et opinion. Ne gaspillons pas nos forces. Lorsque la critique est intelligente, prenons là ! Le reste c’est du verbiage !
Copé est plutôt pathétique. Pathétique dans le sens propre du terme. Dès lors que la conversation lui échappe, lorsqu’il a en face de lui quelqu’un qu’il le domine tant dans le logos que dans la pure dialectique, car avant tout la politique doit être un combat d’idée et non pas de pleurnicherie, il joue la carte du pathos. Il joue la pleureuse car on l’agresse. Le propre de la vérité, c’est d’être agressif en ce qu’elle n’agresse que les certitudes...
Ce que bon nombre d’entre vous n’ont vraisemblablement pas compris c’est qu’Alain Soral propose une thèse, qu’on peut critiquer mais qui se base sur des faits, qui est l’influence des réseaux non publics sur le pouvoir politique au détriment du pouvoir démocratique. En d’autre terme la démocratie serait un leurre.
Après on peut regretter la véhémence du personnage Soral, ça j’ai envie de dire chacun son truc. Mais par contre réduire son argumentation à la seule virulence de son langage, ça c’est de la bouffonnerie !