Rappelons que le Communisme de Marx est une « image-miroir » du nazisme hitlérien : tous deux ont été créés par le cartel des banques centrales, et tous deux sont socialistes. La seule différence est que l’un exalte la race tandis que l’autre met en avant la classe sociale, établissant une relation entre d’une part « racisme » et nationalisme, d’autre part « antiracisme » et collectivisme. Il y a là deux étapes du développement du monde moderne. Le collectivisme s’applique généralement avec le système communiste.
On retrouve là, le mode opératoire habituel si caractéristique chez les globalistes : la subtile « gestion des contraires » et prélude aux futures « guéguerres » électorales passionnelles, illusoires et sans fin entre « extrême droite » et « extrême gauche », contribuant, surtout, à diviser, « ad vitam », la population au sein d’une même nation, laissant ainsi la place et le champs libre aux « grands » partis fantoches « dits de pouvoir » et à leurs responsables politiques, en réalité des « hommes de paille », interchangeables, véritables courroies de transmission des « puissances d’argent ».
Ce mécanisme pervers, mais subtil, de la « gestion des contraires » si chère aux organisations secrètes globalistes.