@ilias ben "Les droites et surtout les extrêmes droites, sous le couvert d’un côté de la défense des français dits de souche et de la culture à relents catholicistes de ligne sectaire, se juche un réflexe de suprémacisme dont les piliers sont :
a) l’esprit tribal et son déploiement en meute et en horde contre tout ce qui est perçu comme différent de la tribu. ’

Ce n’est pas la définition de l’extrême-droite.
L’extrême-droite c’est la conservation de l’identité d’un peuple caractérisé par son ethnie, sa culture, sa religion. Elle n’a pas a priori un caractère suprémaciste.

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b) le ressourcement sans interruption à la culture de l’animalité décrite par Thomas Hobbes dans son léviathan “l’homme est un loup pour l’homme” et toujours tronqué de sa suite par les tenant des extrêmes droites et des fascismes qui est “dans l’état de nature”. 

Les extrêmes-droites sont plutôt contre la culture de l’animalité, car plutôt de tendance conservatrices catholiques,... ce qui est tout le contraire de l’animalité !

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"Le colonialisme, le nazisme, le fascisme, le sionisme, les élitismes mondialistes du fric-dieu, etc. s’abreuvent fondamentalement, chacun à sa manière, de cet état d’esprit animalier."

Ce pot-pourri n’est pas la définition de l’extrême-droite !