@pemile

Ben là tu fais ce qu’on appelle une inversion accusatoire !

Car si on revient voir les commentaires de l’époque, le postulat était l’inverse, car ce que tu écris dit que le Covid était moins dangereux puisque nous sommes dans le principe du rapport bénéfice/risque.

Bref, le courage dont tu parles est annihilé par la peur qui le pousse à considérer que se faire piquouser est moins risqué que de ne pas se faire piquouser. Il est même allé jusqu’à la panique, puisqu’il voulait imposer à tout le monde la piquouse, tout comme toi !

Tandis qu’avec la guerre, il y a surtout le risque et un bénéfice très incertain.

D’autant plus incertain que pour ma part, la véritable raison qui guide l’action réelle n’est pas le péril russe, mais le péril intérieur de la guerre civile. Qui entraîne d’autres conséquences servant à soutenir la raison première.

Car il faut avoir de grosse œillères devant les yeux pour ne pas voir qu’il n’y a aucun bénéfice pour Poutine à pousser plus loin que l’Ukraine et ceci, parce qu’elle ne fait pas partie de l’OTAN.

Le péril russe s’arrête donc à l’Ukraine dans le rapport de force actuel.