Emmanuel Macron a fait son discours du 12 juillet 2021 pour imposer le pass sanitaire aux adultes, aux enfants et mettre à la porte sans salaires ni allocations chômage les soignants qui refusaient l’injection. Le pass sanitaire est une contrainte à la vaccination, alors que ces injections étaient en phase III de l’étude, sous AMM conditionnelle. En phase III, les lois en conventions imposent que les sujets d’expérience soient des volontaires et que leurs consentements soient éclairés.

La Haute Autorité Sanitaire, la DREES, l’Institut Pasteur avaient en juin et juillet calculé des données et établi des projections rassurantes pour maintenir le narratif : le vaccin réduit drastiquement la transmission, les hospitalisés sont principalement des non vaccinés.

Déjà, il est à noter que l’article explicatif en lien vers le site de l’ARS a disparu. Ensuite, je reviendrai sur ces chiffres, qui contredisaient déjà ceux de Grande Bretagne.

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C’est en hiver 2021 qu’un nouveau narratif a remplacé l’ancien : "Les vaccins n’empêchent pas les contaminations, mais empêchent les formes graves". La question de l’immunité collective a été mise sous le tapis et à la place, l’abonnement vaccinal a été mis sur la table avec des rappels, qui étaient de toute façon prévus avec les commandes de Van der Leyen.

Pourtant, on sait déjà au moins depuis décembre 2020 que l’immunité après contamination était robuste :

Et même, celle ci est plus durable que celle vaccinale, au moins 8 mois, au delà des anticorps, avec les lymphocytes B et T qui gardent la mémoire pour les refabriquer.

Les enfants les jeunes, les adultes en bonne santé auraient pu contribuer à l’immunité collective, plus solidement qu’avec le vaccin, sans effets secondaires et gratuitement.

Sans compter que les 100000 généralistes ont été interdits de soigner : Restez chez vous, prenez un doliprane, appelez les urgences si vous étouffez (une sorte de médecine du crash-test...). C’est une perte de chance avec la médecine de première ligne qui n’a donc pas constitué le premier filtre avant hospitalisation. La politique sanitaire en Uttar Pradesh par exemple, 247 millions d’habitants, l’Etat le plus peuplé de l’Inde est basée sur la distribution du Ziverdo. L’Université John Hopkins renseigne une mortalité-covid en dessous de 5 morts par semaine, souvent zéro, depuis juillet 2021. https://urlz.fr/jvKa

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Concernant le vaccin efficace contre les formes graves, ce que les données primaires Israéliennes et Britanniques contredisent, même la DREES, qui refuse de communiquer les données primaires sur les hospitalisés du covid ne fournit rien de probant.

Et la DREES considère ceux qui ont dépassé 6 mois après le dernier vaccin comme des non vaccinés, alors que l’état immunitaire n’est pas le même. Ceux qui sont vaccinés contre la grippe savent qu’ils doivent refaire le vaccin chaque hiver car le système immunitaire naturel est devenu "paresseux".

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Concernant l’absence de différence de mortalité selon le statut vaccinal, dénoncée par Mislav Kolakusic, une étude de Venkata et al., le 28 juin 2022, avec les données primaires détaillées du Royaume Uni, a mis à jour que la troisième dose n’a pas d’efficacité et que la mortalité est tendanciellement moins élevée chez les non vaccinés.

 Graphique des contaminations selon le statut vaccinal :

Graphique de la mortalité selon le statut vaccinal :

Dans son article, Patrice Gilbertie, (merci pour son travail de réinformation), a mis en lien l’étude complète, qui contient ces graphiques.

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Une première nouvelle, quand même, concernant cette affaire des vaccins contre le covid :