Si pour toi le seul obstacle envers le FN est son désir d’américanisation de la France, tu devrais te préparer à prendre ta carte. Il te suffira d’écouter quelques propos de ses leaders pour constater que ce n’est pas le cas.
Vu l’état actuel de l’économie, il est difficile de croire que les "experts" y comprennent quelque chose. Dans les faits, il confondent économie et "faire du pognon". Mais c’est idiot, parce que l’argent s’imprime. La Fed, par exemple, imprime l’argent mondial à volonté (le dollars).
Une économie saine consiste à réaliser des productions en phase d’avec les besoins des populations, tout en répartissant l’argent du travail de manière équitable entre les travailleurs, de manière à minimiser la misère sociale.
C’est bien le contraire de la pratique actuelle : contrôle de la monnaie, donnée préférentiellement à des "créateurs" de gadgets (technotronique), d’illusion (images animées), ou usuriers (trader, banques). Il n’y a pas de quoi s’étonner que les gens n’aient même plus de quoi ni manger, ni se loger : on ne produit jamais que ce qui a été financé.
L’important n’est donc pas l’argent en tant que tel, mais ce qui en est fait. Le fait d’en avoir, permet de parvenir à ses fins (étymologiquement, en effet, la finance, c’est l’art de parvenir à ses fins). Avoir créé une classe de financiers a donc consisté à donner à des gens le pouvoir de décider des fins du système. Puisque ces gens sont des personnes privées (les Banques centrales sont de droit privé), les fins du système repose désormais sur le bon vouloir d’individus privés, non élus. C’est ce que l’on nomme gouvernance qui est au privé, ce que le gouvernement est au public.
Maintenant, quelle est la fin du système de la gouvernance actuelle, son aboutissement ? C’est la crise. C’est le résultat des choix opérés par la gouvernance.
Or, cette gouvernance économique s’appuie sur le monopole de la création monétaire au niveau mondial. Jamais en manque d’argent (par définition, puisqu’elle l’imprime), la crise lui permet donc de s’approprier à bon compte les infrastructures de production des agents économiques, qui ne voudrait pas vendre s’ils ne faisaient pas faillite.
La crise est donc une bonne affaire pour ceux qui contrôlent la monnaie. Mais qui contrôle la monnaie ? Les actionnaires de la Fed, puisqu’ils possède la capacité d’émettre la monnaie de référence mondiale, le dollars. La Fed étant une société anonyme on ne peut les connaître, mais globalement ce sont les oligarchies Anglo-Saxonnes (Rockefeller, ...). Elles ont développé de nombreux réseaux (société Fabienne, Franc-Maçonnerie, Bilderberg, Concil of foreign Relation, Trilatérale, ...) et noyauté les institutions internationales (FMI, Banque mondiale, OMS - c’est en effet plus facile de noyauter un centre unique de pouvoir à l’échelle du monde que dans 250 nations différentes, surtout quand ceux-ci sont à New-York, à quelques km de Wall-Street...)
Or, Strauss Kahn fait partie de ces réseaux (Bilderberg). Il en suivra donc avec une très grande dévotion la gouvernance, donc sa finalité, celle d’augmenter encore le contrôle de l’Empire de la monnaie privé sur toutes les infrastructures économiques du monde.
Strauss-Kahn n’est donc pas un homme neuf, c’est un homme du passé qui n’a jamais contesté les fins politiques du système. Et, puisque le système est en crise, Strauss-Kahn a donc voulu cette crise, par conséquent, puisque n’ayant jamais renié ses options politiques, il voudra qu’elle continue. Son rôle sera de mener une politique adéquate à cette fin. C’est pourquoi les médias sous contrôle de l’Empire privé le promeuvent.
En gros, les mosquées sont financées grâce à la dime que le culte musulman prélève sur chacun des hamburgers de Quick, dont le propriétaire est l’Etat via la caisse des dépôts et consignation ?
Là faudra qu’on m’explique : Pourquoi la caisse des dépôts investit-elle "dans la mal bouffe" ? Est-ce un secteur économique stratégique ? Les fast-food sont plutôt destructeurs des petits commerces. De plus, pourquoi investir dans ce genre de commerce (800 million d’euros), quand dans le même temps des centaines d’entreprises industrielles délocalisent en emportant leur savoir-faire ?
En quoi le savoir-faire des hamburger hallal est-il stratégique pour l’économie française ? Pour financer des mosquées ?
La civilisation française semble être dans le viseur de l’état lui-même... L’Islam semble en être l’instrument : cela ressemble à une politique de revers. La civilisation française, bien trop insoumise à la culture du marché et à ses normes Anglo-Saxone (vite fait, mal fait) doit être rayée de la carte. Pour cela, les traitres, au plus haut niveau de l’état, ont imaginé l’alliance entre le marché et l’Islam. Le discours prévu sera : "voyez, le marché vous aime, tandis que la France vous rejette, aimez le marché, rejetez la France !". Ensuite, il y a plusieurs options : - Si le peuple Français laisse faire, le marché gagne en importance. - S’il y a une guerre civile, le marché ramasse les morceaux d’une France affaiblie. - S’il y a un front républicain qui se lève, on pourra toujours tenter de le faire passer pour xénophobe pour lui-mettre des bâtons dans les roues, selon la tactique classique.