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Mais qui contrôle l’économie mondiale ? (USA, FMI, Bretton Woods...)

00:00 Introduction
00:49 Seconde Guerre mondiale
06:00 Un nouvel équilibre économique
09:46 FMI et banque mondiale
17:19 La fin des accords
27:12 Alors les États européens sont des soumis ??
34:48 Effondrement - Chine
40:11 Conclusion
43:09 Outro

Tags : Etats-Unis Histoire Prospective et futur Mondialisation Monnaie FMI Industrie




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1 réactions à cet article    


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    Étirév 29 décembre 2024 18:54

    Le véritable pouvoir auquel sont soumises les populations, maintenues dans la naïveté et l’inconscience, est économique : il appartient aux principaux détenteurs de capitaux de la planète, lesquels ont tant et si bien œuvrés depuis des centaines d’années qu’ils sont devenus propriétaires directs et/ou indirects de la majeure partie des actifs tangibles de ce monde. Ainsi, sous couvert d’anonymat capitalistique, quelques familles chapeautent tout l’édifice capitalistique mondiale.
    Le véritable pouvoir aujourd’hui n’est donc pas à rechercher dans l’apparence des arcanes politiques, il se cache derrière l’anonymat des capitaux et dans les paradis fiscaux.
    NB : Remarque : « Du point de vue géopolitique, le paradis fiscal est un instrument d’affaiblissement des États. Élément essentiel qui solidifie l’édifice monétaro-économique global, le paradis fiscal permet d’abord l’opacité des propriétaires des capitaux et une sauvegarde de leurs avoirs financiers en échappant à toute imposition. Ce mécanisme de concentration du capital rend possible, à son tour, la subversion des organisations internationales et des États. Le paradis fiscal opère un abaissement structurel du rôle politique des États de deux façons. D’une part, il permet aux propriétaires majoritaires des banques anglo-saxonnes de subvertir les États en corrompant les hommes politiques. D’autre part, la notion même de paradis fiscal indépendant est un détournement juridique de la notion d’État. Aujourd’hui, les États sont, plus que jamais, les acteurs d’une pièce de théâtre dont le scénario et les bénéfices leur échappent. Les paradis fiscaux dissimulent, en réalité, l’objectif des « puissances d’argent » qui est d’assurer (avec la complicité de leurs « marionnettes » politiciennes) le financement de leur hégémonie en appauvrissant les États jusqu’à la complète disparition de ces derniers de la scène institutionnelle. Les paradis fiscaux sont devenus, à leur corps défendant, le talon d’Achille de la mondialisation. Ces paradis, nouvellement constitués en réseau, ont pour caractéristique d’agir au moyen de trusts anonymes. Il suffirait que des États dignes de ce nom suppriment la validité des transactions juridiques avec les trusts anonymes, et de manière générale, avec tout type de structures juridiques permettant l’opacité pour les propriétaires de capitaux, afin de tarir une grande partie du drainage des fonds vers les paradis fiscaux anglo-saxons. Ceci porterait un coup, peut-être décisif, à l’oligarchie à la manœuvre, en supprimant une partie de ses revenus disponibles. Dans le même temps, une telle action permettrait aux États de récupérer une partie substantielle des revenus qui leur échappent. Les États retrouvant ainsi des marges de manœuvre budgétaire de façon indolore pour leurs ressortissants, personnes physiques et morales. » (V. Bugault, les raisons cachées du désordre mondial)
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