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Étirév

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Derniers commentaires




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    Étirév 5 juin 09:50

    Seuls mots d’ordre : « rester groupir » (film « On a retrouvé la 7e compagnie ») et « Français, pardonnez-vous de toute votre âme » (Jehanne d’Arc)
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  • 6 votes
    Étirév 4 juin 12:01

    Brève histoire de la famille (ou « Clan ») Roosevelt.
    Rappelons pour commencer que Franklin Delano Roosevelt, président américain durant la Seconde Guerre mondiale (discrètement au courant des manœuvres de « l’Etat Profond ») disait : « En politique rien n’arrive par hasard. Chaque fois que survient un événement, on peut être certains qu’il avait été prévu pour se dérouler de cette façon. ».
    Un historien contemporain, Bruno Riondel, a retracé les activités politico-financières de la famille Roosevelt :
    Descendante d’un couple d’immigrés judéo-hollandais : Claes Maartenszen van Rosenvelt, et son épouse Jannetje Samuels, fille de Thomas Samuels et de Margaret Harne, c’est au 17ème siècle que la famille Roosevelt vint s’intaller à la « Nouvelle-Amsterdam » (aujourd’hui New York).
    En 1784, l’arrière-arrière-grand-père de F.D. Roosevelt, Isaac Roosevelt, s’associa avec Alexander Hamilton pour créer la première banque new-yorkaise, la Banque de New York (première banque centrale américaine et ancêtre de la « FED » ; elle était structurée comme la Banque d’Angleterre). Sur le plan politique, Hamilton, homme des puissances financières, partisan de la création d’une Banque centrale américaine à la fin du XVIIIème siècle, s’opposait en cela à Thomas Jefferson qui en refusait l’idée. En 1786, Isaac Roosevelt devint président de la Banque de New York et, en 1789, Hamilton devint secrétaire d’État au Trésor. En 1930, un membre de la famille Roosevelt siégeait encore au conseil d’administration de la Banque de New York, W. Emlen Roosevelt. Il y côtoyait Cleveland Dodge qui avait été l’un des artisans de l’ascension de Woodrow Wilson à la présidence des États-Unis, en 1912. Au milieu du 19ème siècle, un autre membre de la famille Roosevelt, James Roosevelt, fut un élu du Corps législatif de l’État de New York. Selon ses biographes, il aurait été un agent de liaison entre le parti démocrate et Wall Street, transmettant les directives de la Bourse aux politiciens qui en recevaient des financements, notamment de la Banque de New York, en partie propriété des Roosevelt. Théodore Roosevelt, président des États-Unis, au cours de la première décennie du XXème siècle, monta, avec l’aide de Wall Street, en 1912, un tiers parti chargé de nuire à la réélection du président Taft et de contribuer au succès de Woodrow Wilson qui fut l’homme de main des promoteurs de la Federal Reserve. Plus curieusement, un autre parent de Franklin D. Roosevelt, Clinton Roosevelt, descendant du fondateur de la Banque de New York, fut l’auteur, en 1841, d’un manifeste de nature socialiste intitulé « The Science of Government founded on Natural Law », dans lequel il imaginait la création d’un pouvoir totalitaire placé aux mains d’une élite qui serait chargée de mettre au point une législation permettant un contrôle étroit des masses. La famille Roosevelt est un bon exemple de ces familles liées à l’oligarchie mondialisée et qui agissent à l’interface des domaines financiers et politiques.
    Est-il utile de rappeler que Marx et Engels ont commencé leur carrière en tant que journalistes travaillant pour des intérêts capitalistes libéraux. Marx travailla plus tard pour le New York Tribune, dont le propriétaire, Horace Greeley et son éditeur, Charles Anderson Dana, étaient de proches collaborateurs du communiste Clinton Roosevelt, un membre démocrate radical du célèbre Clan Roosevelt, dont les intérêts étaient la banque et la politique, et qui étaient de proches alliés des Vanderbilt.
    Wickliffe B. Vennard, dans son ouvrage « The Federal Reserve Hoax - The Age of Deception », écrit également : « Sans l’aide reçue de Clinton Roosevelt, d’Horace Greeley et des financiers qu’ils représentaient, Karl Marx serait resté un obscur obsédé révolutionnaire. Greeley a donné à Marx et à son Manifeste communiste une audience internationale. Ils ont promu leur camarade Illuminé en le nommant correspondant et analyste politique pour la New York Tribune, le journal de Greeley ».
    NB : D’un point de vue économique, le Capitalisme monopolistique et le Socialisme sont tous deux les ennemis de la libre concurrence, car la concurrence et les forces du marché, lorsqu’elles ne sont pas « concentrées » dans les mêmes mains, permettent à d’autres de prospérer et, surtout, d’être indépendants. Un gouvernement communiste peut organiser le contrôle social de manière à garantir et à protéger la concentration de la richesse ; le gouvernement communiste peut donner à des cartels le contrôle des matières premières et des marchés, et leur accorder de gros contrats et s’endetter à l’infini auprès d’eux. Chaque secteur de l’économie étant, in fine, contrôlé par une poigné de cartels, réalisant ainsi cette « gestion des contraires » très chère aux organisations secrètes globalistes.
    Aujourd’hui, le monde capitaliste et le monde socialiste évoluent vers le même type de société. Le poids de l’administration, l’omnipotence de l’Etat, la puissance des multinationales et des grands intérêts financiers, font que les hommes ne sont guère plus que des pantins en face de ces gigantesques pouvoirs. Ceux-ci aspirent au mondialisme, à une société uniformisée qui leur offrirait, par toutes ses possibilités d’exploitation, une puissance inégalée et un pouvoir absolu.
    En 1964, dans « Humanisme et Culture », Edgar Faure écrit : « Le système capitaliste de l’Occident et le socialisme de la Russie (aujourd’hui on pourrait dire des « BRICS ») cheminent l’un vers l’autre, vers la solution de synthèse… ».
    La « solution de synthèse » dont il est question ici, n’est-elle pas l’aboutissement de cette fausse unification finale dont parle l’Apocalypse, ce processus désagréable qu’aujourd’hui nous voyons bien réellement se mettre en place sous l’appellation de « Globalisation » ou « Nouvel Ordre Mondial » ?
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    Étirév 30 mai 13:12

    L’homme qui asservit la Femme prétend toujours la libérer.
    NB : La Franc-Maçonnerie moderne ou « Maçonnerie spéculative », née aux XVIIIème siècle, et qu’il ne faut pas confondre avec la « Maçonnerie Opérative » (elles sont en opposition complète), est le produit corrompu ou « Voie substituée » et d’origine anglo-saxonne d’une « tige » ancienne et respectable (Les « Mystères de Jerusalem »). De plus, dans cette Franc-Maçonnerie moderne, nous trouvons l’existence d’une « Maçonnerie mixte », ou « Co-Masonry », comme elle est appelée dans les pays de langue anglaise. Cette « Co-Masonry » représente tout simplement une tentative de transporter, dans le domaine initiatique lui-même qui devrait encore plus que tout autre en être exempt, la conception « égalitaire », si chère au monde moderne et tellement indissociable de la démocratie, qui, se refusant à voir les différences de nature qui existent entre les êtres, en arrive à attribuer aux femmes un rôle proprement masculin, et qui est d’ailleurs manifestement à la racine de tout le pseudo « féminisme » contemporain.



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    Étirév 29 mai 15:36

    « tout se résout par la force » et « il n’y aura jamais d’État palestinien »
    Pour comprendre cette situation, remontons au VIème siècle avant notre ère.
    Le VIème siècle est une date fatale dans l’humanité. C’est le point de départ de la plus grande révolution qui se soit produite dans le monde, le premier pas vers l’abîme.
    Cette date inaugure l’ère de mensonge et de crimes, qui durera longtemps et qui laissera dans les cerveaux humains une tare ineffaçable. Le sombre esprit du mal va régner sur la Terre.
    L’homme qui supprima la direction morale de la Femme, se vit libre de suivre toutes les impulsions de son instinct, que la raison féminine avait jusque-là entravées.
    Désormais il donna libre cours à ses passions brutales, despotiques, sanguinaires ; ce fut le règne de la Force.
    On vit partout se produire des actes de cruauté, de bestialité, justifiés par les cultes nouveaux, des tueries de tous genres, soit qu’on les appelle des « sacrifices », soit qu’on les appelle des « guerres ».
    En même temps commençait la terreur des faibles. Ce fut le début de l’âge de fer.
    Il y eut un déchaînement général des passions dans le monde entier.
    L’esprit de l’homme errait dans les ténèbres qu’il s’était créées lui-même ; il cherchait à étouffer ses doutes, ses terreurs ou ses remords dans la jouissance à outrance et, au lieu d’un remède, il y trouvait une cause d’aggravation de son mal.
    Enfin l’instinct triompha… et l’homme alors se servit de sa puissance pour s’affranchir de tous devoirs et pour affermir sa volonté, à laquelle il prétendit soumettre les autres.
    Les mœurs qui résultèrent de cet état de choses furent caractérisées par une débauche à outrance et une guerre désordonnée, dans laquelle on cherchait, autant que des victoires, des satisfactions de l’instinct batailleur de l’homme. C’est que, lorsque sa force musculaire augmente, il a besoin de l’exercer, et c’est ce besoin qui le pousse au pugilat, à la lutte, à tous les exercices violents. C’est alors qu’il fit de la force une supériorité ; singulière logique, car avoir une chose en plus que les autres n’est pas un avantage si cette chose n’est pas une qualité qui élève. Si la force se développe aux dépens de l’intelligence, c’est une qualité négative, c’est-à-dire menant à un mal, non à un bien.
    Se glorifier d’avoir plus de force qu’un autre est aussi logique que si l’on se glorifiait d’avoir plus de laideur que les autres. Il y a des superlatifs qui infériorisent.
    Néanmoins la Force fut glorifiée ; les plus forts furent les plus honorés et les plus faibles furent méprisés. Chez les Grecs, l’homme bon, « Agathos », c’est l’homme fort à la guerre ; « Arïstoï », les meilleurs, ce sont les plus forts, les plus aptes à combattre. Chez les Romains, le mot « Virtus » signifie la force par excellence.
    Les hommes s’étaient libérés du lien qui les attachait à la Femme, mais ce ne fut que pour tomber sous un autre joug : celui de la domination des hommes sur les hommes, c’est-à-dire l’exercice de la tyrannie de quelques-uns au préjudice de tous les autres.
    Ceux qui avaient le plus d’audace, le plus de résolution, le plus de cynisme, instituèrent la puissance du Mal, en prenant la direction des nations. Et les foules s’inclinèrent devant « la Force », et la « Force » se fit « autorité », et cette autorité devint la main de fer qui étrangla l’humanité.
    Cet état de choses amena chez les vaincus un profond découragement qui succéda à la période des reproches violents, des cris de douleur et des lamentations qui s’étaient produits dans le siècle antérieur.
    Cependant, un immense désir de voir cesser l’horrible désordre allait désormais régner sur la Terre !
    NB : « Il est un fait assez étrange qu’on semble n’avoir jamais remarqué comme il mérite de l’être : c’est que la période proprement « historique » (la seule qui soit vraiment accessible à l’histoire ordinaire ou « profane »), remonte exactement au VIème siècle avant l’ère chrétienne, comme s’il y avait là, dans le temps, une barrière qu’il n’est pas possible de franchir à l’aide des moyens d’investigation dont disposent les chercheurs ordinaires.[…]En nous rapprochant de l’Occident, nous voyons que la même époque fut, chez les Juifs, celle de la captivité de Babylone ; et ce qui est peut-être un des faits les plus étonnants qu’on ait à constater, c’est qu’une courte période de soixante-dix ans fut suffisante pour leur faire perdre jusqu’à leur écriture, puisqu’ils durent ensuite reconstituer les Livres sacrés avec des caractères tout autres que ceux qui avaient été en usage jusqu’alors. » (René Guénon)
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