quand vous voyez cette bestiole qui ressemble à un poux c’est l’eurotroll à Barroso. Bête et méchant c’est son but .Monsieur Brousseau s’est tiré de l’eurogoulag parce qu’il le connait de l’intérieur et qu’il pouvait plus passer devant un miroir. Contrairement à certains qui ont de la merde rouge dans les yeux
la seule chose dont nous doutons pas c’est de savoir que l’establishment nous ment sans la moindre trêve. On nous fout des universitaires à tour de bras pour nous convaincre de ceci ou de cela. Nous en avons pas besoins . Internet diffuse tous les courants de pensées et preuves pour nous faire une opinion nous mêmes. Gardez vous medias pour infantiliser ceux qui on fait ce choix. c’est bien que le dossier 9/11 ne soit pas ré-ouvert car nous aurions droit à un n ieme mensonge qui cette fois referme la porte définitivement . Croire que nous croyons tout est nous prendre pour des imbéciles. On mélange de fausses conspi pour nous ’’’’prouver’’’’ que les vraies forfaitures sont fausses. Il vous faudra trouver d’autres ficelles . depuis 1997 internet est entré dans ma vie et je vais de surprise en surprise. je devrais dire de déception en tristesse . Pourtant je préfère une mauvaise nouvelle vraies à un mensonges flatteur
Il n’y a de classe dirigeante que courageuse. A toute
époque, les classes dirigeantes se sont constituées par le courage, par
l’acceptation consciente du risque.
Dirige celui qui risque ce que les dirigés ne veulent
pas risquer. Est respecté celui qui volontairement accomplit pour les autres
les actes difficiles ou dangereux. Est un chef celui qui procure aux autres
sécurité en prenant pour soi les dangers.
Dans la moyenne industrie, il y a beaucoup de patrons
qui sont eux-mêmes, au moins dans une large mesure, leur caissier, leur
comptable, leur dessinateur, leur contremaître. Ils ont avec la fatigue du
corps, le souci de l’esprit que les ouvriers n’ont que par intervalles. Ils
vivent dans un monde de lutte où la solidarité est inconnue. Jusqu’ici, dans
aucun pays, les patrons n’ont pu se concerter pour se mettre à l’abri, au moins
dans une large mesure, contre les faillites qui peuvent détruire en un jour la fortune
et le crédit de l’industriel.
Entre tous les producteurs, c’est la lutte sans merci
; pour se disputer la clientèle, ils abaissent jusqu’à la dernière limite, dans
les années de crise, le prix de vente des marchandises, ils descendent même
au-dessous des prix de revient, ils sont obligés d’accorder des délais de paiement
démesurés qui sont pour leurs acheteurs une porte ouverte à la faillite et,
s’il leur survient le moindre revers, le banquier aux aguets veut être payé
dans les 24 heures.
Lorsque les ouvriers accusent les patrons d’être des
jouisseurs qui veulent gagner beaucoup d’argent pour s’amuser, ils ne
comprennent pas bien l’âme patronale.
Sans doute il y a des patrons qui s’amusent, mais ce
qu’ils veulent, avant tout, quand ils sont vraiment des patrons, c’est gagner
la bataille. Il y en a beaucoup qui, en grossissant leur fortune, ne se
donneront pas une jouissance de plus : en tout cas, ce n’est point surtout à
cela qu’ils songent. Ils sont heureux, quand ils font un bel inventaire, de se
dire que leur peine ardente n’est pas perdue, qu’il y a un résultat positif,
palpable, que de tous les hasards, il est sorti quelque chose, et que leur
puissance d’action est accrue.
Jean Jaurès
Jean Jaurès écrivait en 1901 : « Tout individu humain
a droit à l’entière croissance. Il a le droit d’exiger de l’humanité tout ce
qui peut seconder son essor. Il a le droit de travailler, de produire, de créer
sans qu’aucune catégorie d’homme soumette son travail à une usure ou à un joug.
»