Que Kadhafi ait mérité la mort certes, mais voir massacrer un homme avec cette sauvagerie et aux cris de " alha akbar" ne semble pas présager de l’arrivée d’une démocratie dans ce pays avant quelques décennies.
La difficulté du métier d’enseignant liée au lieu d’affectation.
Une classe ou la majorité des élevés ne connaissent de la langue française que les jurons, n’ont aucune notion de ce qu’est le pays, la patrie,la morale et ne sont là que parceque la scolarité est nécessaire pour obtenir les allocations, peut devenir, c’est vrai, un bague pour l’enseignant.
Des " élèves " qui, a leur temps perdu, dealent, brulent des voitures, cassent des vitrine,rackettent les autres élèves et ne savent discuter autrement qu’a coup de jurons de poings voir de couteaux, sont ingérables et le métier d’enseignant ressemble bien plus alors a celui de garde chiourme.
Certains élèves n’ont pas leur place dans le circuit normal de l’enseignement et empêchent ceux qui sont désireux de la faire d " appendre " et ceux qui ont pour vocation d’enseigner de transmettre leur savoir.
Mais il y a là un sujet qui dérange et l’on traite donc par la langue de bois
L’échec de l’U.M.P se prépare et l’on commence déjà à former les esprits à son ralliement au PS !
Utiliser J.Chirac , qui n’a plus de fonction au sein de l’UMP, pour commencer, dés à présent, à chanter les louanges du PS est assez habile : Ça évite de mouiller ceux qui ont à gagner à cette alliance contre nature.
Selon la formule consacrée : Laissons faire la justice.
Un point est déjà sûr : On n’a vraiment pas grand chose à fiche dans ce service où le temps passe a " se gratter les doigts de pieds " ... au frais du contribuable.
Et deux constatations : D’une part qu’est ce que c’est que ce "chef de service" qui s’amuse à masser ses employées ? D’autre part est ce qu’une employée sérieuse se laisse prendre à ce petit jeu sans remettre en place celui qui le pratique.Cette affaire, avant tout autre conclusion, témoigne surtout de l’écoeurante notion de travail, de responsabilité et de gestion de nos deniers, dans ces lieux où des gens sont sur-payés à ne "rien foutre".