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Accueil du site > Actualités > Technologies > Intelligence artificielle : où placer les limites éthiques ?
#89 des Tendances

Intelligence artificielle : où placer les limites éthiques ?

Revivez la conférence exceptionnelle sur l'IA : où placer les limites éthiques de ce progrès technologique ? 

Pierre-Hugues Dubois était en compagnie de Pascal Lorne (fondateur PDG de Gojob) et Mathieu Guillermin (docteur en physique et philosophie) pour éclaircir le paysage !

Tags : Politique Informatique Ethique Intelligence artificielle




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4 réactions à cet article    


  • 2 votes
    christophe nicolas christophe nicolas 18 mai 14:41

    Les limites éthiques sont au niveau de l’âme et pas de l’Intelligence donc l’IA n’en a strictement pas. La bonne question est donc "où placer les limites éthiques chez les concepteurs et utilisateurs de l’IA".


    • 1 vote
      JL 18 mai 18:02

      ’’Mathieu Guillermin, docteur en physique et en philosophie, maître de conférence à l’université catholique de Lyon ... nous invite à considérer l’IA non seulement (blablabla) mais aussi comme un miroir de notre humanité. ’’

      >

      Ben voyons : Une machine totalement dénuée d’humanité.

       

      Une IA ne sera jamais notre directeur de conscience

      • 1 vote
        perlseb 18 mai 18:27

        Le gros problème de l’IA c’est qu’elle va donner encore plus de pouvoir à ceux qui en ont déjà énormément.

        Par exemple, elle permettra de créer des robots tueurs avec une vidéosurveillance mondiale sans échappatoire. Elle permettra également de nous piloter à distance par l’intermédiaire de nanorobots injectés dans notre corps au hasard ... d’un vaccin (oui, c’est complotiste).

        Donc l’IA n’est pas vraiment le problème, le problème est toujours le même : des pouvoirs de plus en plus importants pour toujours moins de personnes.

        Le problème, c’est qu’on ne nous consultera pas pour savoir s’il légal de concevoir des robots tueurs, de fabriquer des virus avec gains de fonction, de laisser l’OMS décider de notre politique sanitaire (les médias officiels n’en parlent même pas et ça va se jouer à la fin du mois), de savoir si on met plus de caméras de vidéosurveillance, de savoir qui accèdera à toutes ces informations et pour quoi faire dans un monde où les états auront fait faillite volontairement et où les entreprises privées n’auront plus aucun compte à rendre.

        C’est bien beau de parler d’éthique, de lois et de règles, mais les faire respecter ça a un coup et quand un état fait faillite, alors les patrons pourront se torcher avec toutes les lois. Tiens, si j’étais patron, je ferais tout pour que l’état fasse faillite, ça me donnerait encore plus de pouvoir...



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