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Soralien Raie Noire 3 décembre 2014 12:40

Tout est relatif et imaginable, la fin de Men In Black 1 explique très bien ce concept d’infiniment grand et d’infiniment petit. Les gros monstres qui jouent aux billes avec ce que nous considérons comme l’immensiment grand à notre échelle et la galaxie qui est contenue dans un bijou pour chat.
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L’homme tente de tout expliquer en se regardant le nombril, le big bang pour l’univers, une éjaculation bestiale serait elle notre big bang personnel ? Ce jaillissement soudain, cette libération de millions de spermatozoïdes en course effrénée pour l’ovule, l’oeuf à féconder qui déclenchera des milliards de divisions cellulaires pour former les espèces d’abrutis que nous sommes.
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Quand on entre dans la spéculation, l’imagination fertile de l’homme ne connait plus de limite, c’est pratique pour écrire des histoires fantastiques de science fiction ou d’anticipation voire même y voir une révélation mystique pour les plus baroques d’entre nous quans on croit trouver une réponse à une question existentielle avant de déchanter en voyant que cette réponse amène un lot impressionnant de nouvelles questions.
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J’avais lu "Avant le Big Bang" des Bogdanov, mais ce livre ne m’avait pas convaincu. Mais chaque fois que je les vois et les entends, ça me rappelle Temps X et ma jeunesse.




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