Ainsi,
grâce au cowboy Trump dans des U$A transformés en tripot et au bord
de la ̶b̶a̶g̶a̶r̶r̶e̶ ̶g̶é̶n̶é̶ guerre civile,
plus de 60 ans après les faits, la vérité sur l’assassinat de JFK
commence timidement a montrer au grand jour son plaisant minois à
ses amoureux transis.
Car
comme l’affirme effectivement J. Baud, une fois infirmées toutes
les autres hypothèses avec lesquelles certains, suivez mon regard,
ont noyé le poisson durant des décennies, il ne reste plus que la
piste $ionnarde, pourtant aussi évidente que le nez au milieu du
visage dès le début, mais que, tu m’étonnes, les "politichiens",
merdias et autres faux culs $ionisés jusqu’au fond du côlon,
n’osaient explorer ni même évoquer.
En fait, le tournant fatidique de la tragique Histoire des U$A,
donc aussi celle de l’occident dit collectif, est le meurtre de
John Fitzgerald Kennedy le 22/11/1963, celui de son frère 5 ans plus
tard n’en étant que la continuité logique, une non moins monstrueuse finition en quelque sorte.
L’attentat du 11/09/2001 n’en est que le
prolongement tout aussi impuni et, après les millions de victimes
innocentes de la prétendue guerre contre le terrorisme dit
i$lamiste, dont ils sont également les prescripteurs, à l’instar de
pompiers pyromanes, nous avons en sanglante apothéose, tel un bouquet
final, l’actuel
génocide des palestiniens de Gaza.
Ce fut écœurement long pour les assassinats des frères Kennedy,
compte tenu que tous les criminels concernés ne sont plus de ce
monde, mais même s’il y a encore occultation des faits, notamment
avec l’accusation de complotiste, datant d’ailleurs de cette époque,
voire celle d’antisémite quand lesdits malfaisants sont acculés, la
vérité continuera de faire son petit bonhomme de chemin dans la tête du
pékin occidental et l’édifiant spectacle, par effet domino, qui
en résultera tel une vieille malédiction, durant ce XXI siècle
apocalyptique, au sens strictement étymologique du terme,
fera largement oublier les décennies de crimes et de mensonges, sans nullement les absoudre. . .