@yoananda2
Tu dis :
"cette fuite en avant organisée par nos élites, militant pour l’immigration de masse pour raison économique"
Puis tu dis :
"L’économique c’est ce que nous pouvons constater"
C’est contradictoire : ce que tu dit constater c’est d’abord une raison (économique), et non pas l’économique.
Or, en vérité, une raison, déjà, c’est quelque chose qui se cache dans l’esprit de quelqu’un, donc fort difficile à constater.
Ensuite, l’élite, ce n’est pas quelqu’un mais de nombreuses personnes. Par conséquent, il y a beaucoup de raisons, diverses, économiques ou autres, qui poussent ses membres à agir tels qu’ils agissent.
En fait, ce qui se constate, c’est l’immigration.
Ce qui se constate encore, c’est que la constater de manière négative, fait généralement subir un procès en racisme, donc une mise au ban de la démocratie.
En revanche, les raisons de ce qui motivent ces procès en infamie sont inconnues à priori, et certainement variées. Entre les anti-fa, qui sont persuadés de lutter contre des réincarnations d’Hitler, des patrons qui veulent des ouvriers dociles, des cadres sup qui cherchent des domestiques, des fanatiques des droits de l’homme, qui confondent tout, où des puissances étrangères ravies de voir un ennemi s’enfoncer dans la guerre civile.
C’est pourtant pas compliqué : les immigrés sont des hommes et des femmes, et en cela ils portent un bout de leur communauté. Toute communauté suppose des définitions communes du Bien. Le Bien, étant le but légitime. Le But commun devenant donc le Bien commun.
C’est le véritable sens du terme "universel" : être unis vers (un Bien Commun).
L’universel des droits de l’homme est autre : il est déduit de la nature (abstraite) de l’homme, renversant ainsi la perspective du but, vers la cause
Mais tout homme, pour être, doit être construit, et ça se fait toujours dans la communauté familiale. De cela, il hérite toujours de certaines conceptions de ce qui est Bien, donc d’une idée de ce que sont les Buts légitimes. S’il n’est pas construit, ses buts seront propres à lui-même, guidés par l’intérêt personnel.
Le libéralisme, c’est l’homme non construit.
Le communautarisme, c’est la multiplication des Biens communautaires.
A la fin, c’est l’abolition de l’universel (le vrai, celui qui tend vers un but) dans les pays, donc la désunion.