Allons-nous être assez couillons pour voter ou regarder
voter pour des milliardaires de la mondialisation,
propriétaires opportuns de l’essentiel des médias et des instituts de sondages,
pour le maintien de leur ISF, niches fiscales, super-rentes, leur pouvoir
médiatique pas assez suffisant encore paraît-il, les subventions sans
contreparties qu’ils perçoivent dans des proportions que l’on a peine à imaginer
vis-à-vis de l’argent dédié à la solidarité sociale ? Qui se cachent sans
vraiment se cacher derrière l’extrême-droite
maintenant que leur champion n’est plus en capacité de garder la maison et de
justifier le système où ils sont si bien avec toujours le même appétit de vouloir continuer à s’enrichir. Qui
pompent tellement de richesses que les chiffres semblent relever de la fiction et
que l’on ne réalise pas vraiment la situation qu’il s’agit des possessions et
revenus de quelques uns alimentés en continu par les logiques de répartition
des richesses produites sans plus chercher à en comprendre la justification et
les effets sur l’économie en général et nos politiques publiques et leurs financements.
Banalisés par le traitement de l’actualité
avec l’augmentation du prix de l’essence ou autre et on passe à autre chose.