@PumTchak
Si la terreur est le fait, pour un pouvoir,
d’instiller à des populations la crainte de la répression si elle se soulève, c’est
un état habituel, régulier et conforme à la majorité des cas. En d’autres termes,
c’est une norme. Je ne comprends pas la logique qui consiste à opposer le fait
à la norme puisqu’un fait peut-être une norme.
Mais là, nous parlons de la terreur
avec un petit « t ». Dans l’article, il est question de la Terreur avec
un grand « T » et qui se réfère à une pratique de gouvernement bien caractéristique pendant une période spécifique de la révolution française. Et bien , justement ,
la thèse de Jean Cément Martin est que cette Terreur n’a jamais existé. Nier
l’évidence, ce serait nier les massacres qui ont été commis , ce que personne n’a
fait.
Bizarrement, les contradicteurs
imaginaires convoqués dans le texte se sont rapidement manifestés, allez y
comprendre quelque chose. Soit j’ai le pouvoir de matérialiser des illusions ,
soit ils existaient vraiment … 